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Tristan Koëgel : Bluebird
15 août 2015 | Lien permanent
Le retour de Tristan Koëgel : Bluebird
Après le Grillon, Récit d'un enfant pirate et les Sandales de Rama,
le troisième titre d'un auteur à suivre !
Pour Tristan et les siens et tout le bonheur du monde !
Bluebird : L'extraordinaire destin de « Minnie Bluebird » devenue chanteuse de blues dans les Etats-Unis des années 40.Elwyn est fils d’immigrés irlandais, Minnie, fille d’un chanteur itinérant noir. Ils se rencontrent dans une plantation, et tombent amoureux. Ils ont 13 ans, et ne savent pas que leur vie est sur le point de basculer. Quelques jours plus tard, en effet, Minnie assiste au passage à tabac de son père par des hommes du Ku Klux Klan. Effondrée, elle saute dans le premier train, en partance pour Chicago. Didier Jeunesse
23 septembre 2015 | Lien permanent
Les sandales de Rama / Didier Jeunesse
26 janvier 2015 | Lien permanent
Bluebird dans la Sélection Noël 2015 des Sandales d'Empédocle Jeunesse
22 décembre 2015 | Lien permanent
Romans Didier Jeunesse : Sélection Noël 2015, Sandales d'Empédocle Jeunesse
17 décembre 2015 | Lien permanent
Nouveautés semaine du 11 octobre 2017 : roman Didier Jeunesse
Tristan Koëgel est de retour et rien que pour cela le soleil brille !
Le Complot du trident : Dans le port d’Ostie, le trafic maritime est bloqué par un navire inconnu. Publius et son neveu Lucius enquêtent. Ils ne vont découvrir à son bord que des cadavres, morts de la peste. À leur cou, un pendentif en forme de trident. Rome est menacée et la peste n’est que le premier fléau infligé à la ville et à ses habitants. Une enquête haletante débute pour le duo…
Tristan Koëgel, l'auteur de Bluebird, remonte le temps et nous entraîne dans une enquête trépidante au coeur de la Rome antique. Didier Jeunesse
13 octobre 2017 | Lien permanent
Pour un très beau Noël avec les Sandales Jeunesse / Les sandales de Rama / Didier Jeunesse
Tristan Koëgel nous propose un nouveau voyage extraordinaire ! Clic de Noël
Dès les premières lignes vous serez projetés sur les trois cents marches qui mènent au temple de Swayambhu de Katmandou. Tout bouge, tout tangue, les singes grimpent sur les marches, hurlent, chipent, taquinent. Des images, des odeurs… se bousculent dans votre esprit, un vent venu d’ailleurs vous emporte.
En haut des marches deux jeunes garçons se retrouvent, deux jeunes vendeurs de barbe à papa, deux amis d’origines différentes que tout aurait du séparer à jamais : Arjun jeune dalit considéré comme impur et Upendra issu du groupe newar, considéré comme peuple des origines. Très vite à ces deux compères viendra se joindre Hanuman le petit singe solitaire sans queue. Et puis viendront le jeune apprenti prêtre Shanti qui se laissera peu à peu apprivoiser et bien évidemment la belle Satiya ancienne Kumari dont Upendra tombera follement amoureux.
Comment vous raconter ? Que vous dire qui ne vous privera pas du plaisir de la lecture ? Leur destin est en route et en quelque deux cents pages Tristan Koëgel va nous emmener dans cette ville en ébullition aux antipodes de nos villes occidentales, bouleverser nos regards sur l’autre. Avec ses héros on se faufile dans la foule bigarrée, on tremble, on pleure avec eux. Parce qu’il faut bien vous le dire, ne comptez pas sur Tristan Koëgel pour nous raconter des histoires à l’eau de rose. A la fois très différent et semblable à son premier roman, il est moins rugueux, moins coup de poing peut-être, et pourtant ! La révolte qui gronde contre le roi, la vie réelle, le quotidien, les doutes des familles, les dieux, les légendes, les temples, tout un choc des cultures qui nous embarque ailleurs dans une ville grouillante de vie, avec les fakirs, les croyances et là haut proche des sommets du monde.
Quatre destins cruels et beaux qui mèneront les quatre héros à s’affranchir en partie de ce qui semblait être tout tracé avec Upendra en fil conducteur qui ira très loin dans la folie et la recherche d’une voie qui semblait au final si proche.
Tristan sait comme personne, nous attacher au destin de ces jeunes héros, il sait nous retourner d’un souffle, d’un détail, et nous laisser tournés vers l’avenir. L’auteur a nous dit-on la folle ambition de visiter tous les pays du monde et d’en ramener à chaque fois une histoire, pourvu que son rêve se réalise.
Un très grand roman, bouleversant et magique à la fois ! Namasté, Tristan !
Jean-Luc
11 décembre 2014 | Lien permanent
L’Homme qui voulut peindre la mer
Une petite merveille pour terminer l'été et les vacances en beauté ! Coup de coeur !
Quel plaisir de retrouver Tristan Koëgel qui nous propose ici sept nouvelles étranges, vibrantes, proche du cœur des hommes comme lui seul sait le faire.
Ces nouvelles ont en commun un font de cruauté, celui de l’humanité et toute font appel quelque part à nos souvenirs, à la mémoire collective, aux légendes et toutes nous parlent d’ailleurs, des besoins et des nécessités du temps qui poussent les hommes à changer ou à migrer.
Que ses héros soient des humains tout ce qu’il y a de plus banal ou que comme Victoria ils ensorcellent leurs clients avec des gâteaux, tous disent le besoin de l’autre, la dépendance, la vie qui pulse malgré la misère et les difficultés du temps. Dans chaque nouvelle on se sent au point de rupture parfois à la lisière de la folie. Les renvois aux légendes grecques nous rappellent aussi que l’homme cherche de tout temps à élargir son horizon et que certains faits fantastiques sont racontés et transmis de mémoires en mémoires depuis longtemps.
Sept petits morceaux de vie, parfois fantastiques, parfois émouvants, toujours vivants et beaux. Des nouvelles à découvrir et lire encore et encore en cette fin d’été . A saluer la superbe couverture de Guilia Vetri. Magique !
Jean-Luc
L’Homme qui voulut peindre la mer
Auteur : Tristan Koëgel
Editions Didier Jeunesse, 6 juin 2018, 14,9 €
27 août 2018 | Lien permanent
L’Homme qui voulut peindre la mer
Bel été 2022 avec les Sandales Jeunesse et Amandine votre libraire. Pour débuter l'été et avant le rush des vacances, des titres passés qui ouvrent sur des lectures formidables avant les suites les nouveautés tout l'été !
On reste avec vous cet été !
Quel plaisir de retrouver Tristan Koëgel qui nous propose ici sept nouvelles étranges, vibrantes, proche du cœur des hommes comme lui seul sait le faire.
Ces nouvelles ont en commun un font de cruauté, celui de l’humanité et toute font appel quelque part à nos souvenirs, à la mémoire collective, aux légendes et toutes nous parlent d’ailleurs, des besoins et des nécessités du temps qui poussent les hommes à changer ou à migrer.
Que ses héros soient des humains tout ce qu’il y a de plus banal ou que comme Victoria ils ensorcellent leurs clients avec des gâteaux, tous disent le besoin de l’autre, la dépendance, la vie qui pulse malgré la misère et les difficultés du temps. Dans chaque nouvelle on se sent au point de rupture parfois à la lisière de la folie. Les renvois aux légendes grecques nous rappellent aussi que l’homme cherche de tout temps à élargir son horizon et que certains faits fantastiques sont racontés et transmis de mémoires en mémoires depuis longtemps.
Sept petits morceaux de vie, parfois fantastiques, parfois émouvants, toujours vivants et beaux. Des nouvelles à découvrir et lire encore et encore en cette fin d’été . A saluer la superbe couverture de Guilia Vetri. Magique !
Jean-Luc
L’Homme qui voulut peindre la mer
Auteur : Tristan Koëgel
Editions Didier Jeunesse, 6 juin 2018, 14,9 €
27 juin 2022 | Lien permanent
Les sandales de Rama
Deuxième titre de Tristan Koëgel avec les Sandales de Rama :
Un très grand roman, bouleversant et magique à la fois !
Clic avant la nouveauté qui arrive cette semaine
Dès les premières lignes vous serez projetés sur les trois cents marches qui mènent au temple de Swayambhu de Katmandou. Tout bouge, tout tangue, les singes grimpent sur les marches, hurlent, chipent, taquinent. Des images, des odeurs… se bousculent dans votre esprit, un vent venu d’ailleurs vous emporte.
En haut des marches deux jeunes garçons se retrouvent, deux jeunes vendeurs de barbe à papa, deux amis d’origines différentes que tout aurait du séparer à jamais : Arjun jeune dalit considéré comme impur et Upendra issu du groupe newar, considéré comme peuple des origines. Très vite à ces deux compères viendra se joindre Hanuman le petit singe solitaire sans queue. Et puis viendront le jeune apprenti prêtre Shanti qui se laissera peu à peu apprivoiser et bien évidemment la belle Satiya ancienne Kumari dont Upendra tombera follement amoureux.
Comment vous raconter ? Que vous dire qui ne vous privera pas du plaisir de la lecture ? Leur destin est en route et en quelque deux cents pages Tristan Koëgel va nous emmener dans cette ville en ébullition aux antipodes de nos villes occidentales, bouleverser nos regards sur l’autre. Avec ses héros on se faufile dans la foule bigarrée, on tremble, on pleure avec eux. Parce qu’il faut bien vous le dire, ne comptez pas sur Tristan Koëgel pour nous raconter des histoires à l’eau de rose. A la fois très différent et semblable à son premier roman, il est moins rugueux, moins coup de poing peut-être, et pourtant ! La révolte qui gronde contre le roi, la vie réelle, le quotidien, les doutes des familles, les dieux, les légendes, les temples, tout un choc des cultures qui nous embarque ailleurs dans une ville grouillante de vie, avec les fakirs, les croyances et là haut proche des sommets du monde.
Quatre destins cruels et beaux qui mèneront les quatre héros à s’affranchir en partie de ce qui semblait être tout tracé avec Upendra en fil conducteur qui ira très loin dans la folie et la recherche d’une voie qui semblait au final si proche.
Tristan sait comme personne, nous attacher au destin de ces jeunes héros, il sait nous retourner d’un souffle, d’un détail, et nous laisser tournés vers l’avenir. L’auteur a nous dit-on la folle ambition de visiter tous les pays du monde et d’en ramener à chaque fois une histoire, pourvu que son rêve se réalise.
Un très grand roman, bouleversant et magique à la fois ! Namasté, Tristan !
Jean-Luc
21 septembre 2015 | Lien permanent
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