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Le Chat de Mathilde
Pour les deux Mathilde de ma vie !
miaou de bonheur !
Mais qu’aime donc le chat de Mathilde ? Deux solutions : vous raconter ou vous laisser découvrir. Je crois que je vais choisir la seconde. Juste dire que cet album vous fera sourire, rire aux éclats et vous attendrir. Le chat de Mathilde est à offrir à toutes les Mathilde et aux autres notamment ceux qui aiment les chats… un album superbe, léger et magique ! A découvrir d’urgence
Jean-Luc
Le Chat de Mathilde ; Emily Gravett ; Traduit de l’anglais : Elisabeth Duval ;
Editions Kaléidoscope, 20 septembre 2012, 13,5 €
12 novembre 2012 | Lien permanent
Pour Noël : Mon imagier de Noël
Pour Noël la Sorcière et les Lutins des Sandales vous proposent :
mon imagier de Noël
A découvrir d’un clic
avec gourmandise !
Pour commencer à préparer Noël, autant commencer par les tous petits. Et comme ils ont de la chance, voici un imagier malin et rigolo comme cette collection en a le secret. Et ce n’est pas ce bon vieux Père Noël qui roule des yeux sur le couverture qui nous dira le contraire. Ensuite vous n’échapperez pas au sapin, ni au bonhomme de neige, par contre pour les rennes et les cadeaux, on vous laisse découvrir. Un petit livre avec des tirettes et des images délicieuses signées Nathalie Choux.
Joyeuses Fêtes avec l’équipe des Sandales
Mon imagier de Noël ; Nathalie Choux ; Editions Nathan Jeunesse,
collection Kididoc 1-3 ans, 25 octobre 2012, 6,9 €
15 novembre 2012 | Lien permanent
Jour de piscine
C'est le jour de la piscine ? Achetez leur cet album et lisez le avec eux :
formidablement drôle !
plouf !
Elle est mignonne Lapinoute et pleine d’enthousiasme pour la piscine, mais les autres vont finir par lui coller la frousse de sa vie parce qu’aujourd’hui à la piscine c’est plongeon. Alors quand le maître nageur est un crocodile (ça ne s’invente pas) et que les pires terreurs des animaux (tous adoptables et totalement craquants) deviennent réalité (ou presque) on ne peut que se réjouir. Le texte de Christine Naumann-Villemin est drôle et frappe au bon endroit. Les illustrations d’ Eléonore Thuillier sont justes géniales, elles montent, descendent, les pages c’est simple, on ne sait plus dans quel sens il faut les tourner et les situations mises en images dont drolissimes.
Vous l’aurez compris on aime beaucoup cet album nécessaire pour tous les petits qui angoissent peut-être un peu (ou surtout leurs parents) avant d’aller à la piscine ou juste pour se faire plaisir.
Jean-Luc
Jour de piscine ; Christine Naumann-Villemin ; Illustrations : Eléonore Thuillier ;
Editions Kaléidoscope, 30 août 2012, 13,2 €
01 octobre 2012 | Lien permanent | Commentaires (1)
Le garçon qui rêvait de requins
Le garçon qui rêvait de requins est une magnifique histoire de vie, de rêves et de passion !
Clic pour un très gros coup de coeur ...
Cinq jours avec Tommy et Bee. Cinq jours pour réaliser le rêve d’un jeune garçon atteint de mucoviscidose voir et plonger au plus près de grands requins blancs. Une association accepte sa candidature et il va pouvoir réaliser son rêve.
Pourtant rien n’est aussi simple. On les suit le frère et la sœur et leur mère de l’avion jusqu’à la côte pacifique.
Le premier contact est étrange, mais le brave homme qui les accueille comprend bien vite que le jeune garçon qu’il vient d’accueillir est exceptionnel.
La visite en bateau qui étrenne les premières sensations réelles avec l’océan et les requins est décevante au final, le temps est mauvais, et Tommy ne pourra pas descendre dans une cage et plonger au milieu des requins. Viendra ensuite la rencontre avec son héros qui a échappé à une attaque de requin : Ty.
Dès les premières lignes vous vous sentirez happés par cette histoire. Très vite on écoute la voix qui nous la conte comme si elle nous était familière et on a très envie de l’entendre jusqu’au bout. Pas de misérabilisme, pas de voyeurisme, la maladie est là, les blessures familiales aussi, la vie tout simplement. Mais il y a quelque chose d’autre, une rage de vivre, d’aller au bout de toujours s’accrocher. On suit avec passion Tommy et sa sœur qui nous font partager leur aventure de quelques jours et surtout celle de Tommy sur les requins, sujet sur lequel il est inépuisable, et surtout incollable. Une récit de vie, un cri d'amour de la vie mais aussi de la nature et de ces animaux terrifiants.
Une très belle histoire d’amour, d’amitié et de passion contagieuse qui est l’une des très bonnes surprises de cette rentrée. A lire sans aucun doute et à partager.
Jean-Luc
Le garçon qui rêvait de requins ; Joseph Monninger ; Traduit de l’anglais (Etats-Unis) : Marie Hermet ; Editions Flammarion, collection TRIBAL, 22 août 2012, 12 €
27 août 2012 | Lien permanent
Vitrine de rentrée des Sandales
23 août 2012 | Lien permanent
Le filou de la forêt
Cet album c'est Claire qui me l'a fait découvrir et en plus aux Sandales tout le monde l'adore : Il revient à petit prix cette semaine de quoi en profiter encore et encore et encore
Soyez filou : clic !
Quelle drôle d’ambiance dans cette forêt : des branches, des arbres entiers disparaissent. C’est la panique, les habitants sont furieux et après s’être accusés mutuellement, ils vont décider de mener l’enquête. Et celle-ci va les emmener directement vers un Ours, mais pas n’importe quel ours, un descendant d’une lignée de champion !
La première double page donne le ton de ce très bel album avec cette forêt aux couleurs chaudes et les habitations en sous-sol, douillettes, à l’abri. Et puis les animaux sont joliment dessinés avec leurs pattes si fines, avec des situations particulièrement drôles dues aux disparitions de branches... Des dessins agréables, doux à la limite du naïf, un graphisme très original et une histoire d’amitié et d’entre aide. Une ambiance particulière dont certains scènes font penser au très bon film : la véritable histoire du Petit chaperon Rouge.
Un album à savourer sans retenue
Jean-luc
Oliver Jeffers, traduit de l'anglais par Elisabeth Duval
Kaléidoscope, mars 2009, 12€50, 22 août 2012, 5,6 €
24 août 2012 | Lien permanent
Le Labyrinthe de Dédale
Petites histoires de la mythologie : épisode 4 : Dédale, Minos, Ariane, le labyrinthe
clic dangereux !
Le labyrinthe de Dédale, encore une histoire de la mythologie qui a fait rêver des générations entières, imaginer des histoires plus folles les unes que les autres. Un labyrinthe symbole de la cruauté, de la folie des hommes et des dieux. C’est aussi celui du Minotaure cette créature monstrueuse à laquelle chaque année on sacrifiait de jeunes athéniens en gage de soumission, jusqu’au jour où Thésée vaincra la malédiction en tuant la bête mais aussi fera le malheur d’Ariane la princesse et provoquant la fuite désespérée de Dédale et d’Icare pour échapper à la fureur du roi Minos.
Une histoire une fois de plus superbement racontée et mise à portée des jeunes lecteurs par la plume d’Hélène Montardre. A découvrir pour les fans de mythologie et pour tous ceux qui aiment les belles histoires d’amour impossible et les tragédies.
Jean-Luc
Le Labyrinthe de Dédale ; Hélène Montardre ; Illustrations : Nicolas Duffaut ;
Editions Nathan Jeunesse, Petites histoires de la mythologie, 18 août 2012, 4,95 €
27 septembre 2012 | Lien permanent
Romans de la semaine
Une semaine plus calme en romans, mais avec de quelques beaux titres et puis surtout l'occasion de rattraper notre retard de lecture et de savourer. Mais la vraie question cette semaine est où irez-vous ? : A Abbey Road, à l'école de l'Elite ou à Bouquinbourg ? Belles découvertes !
Les orphelines d'Abbey Road : L’orphelinat d’Abbey Road ne s’est pas toujours appelé ainsi. Son véritable nom, il vaut mieux ne pas le connaître. Il vaut mieux ne pas poser de questions, non plus, ni sur ce sujet ni sur aucun autre. Soeur Ethelred n’aime pas que les enfants posent des questions. Elle dit que Dieu apportera toutes les réponses. Ses réponses à elle, ce sont les punitions. Ce soir, comme chaque soir, les pensionnaires ont dit leur prière et soeur Ethelred a coupé l’électricité dans le dortoir. Mais Joy ne peut pas dormir. Elle pense au souterrain que son amie Margarita a découvert sous l’abbatiale. Qu’y a-t-il au bout de ces couloirs qui sentent le soufre ? Pourquoi Prudence ne parle-t-elle plus depuis qu’elle les a visités seule ? De quoi a-t-elle si peur ? D’où vient cette étrange brûlure sur son bras ? Que cache le mince sourire de Lady Bartropp, la bienfaitrice de l’orphelinat ? Et pourquoi la petite Ginger chante-t-elle sans cesse une chanson en latin sans même s’en apercevoir ? Les réponses sont peut-être là, tout près, dans un autre monde. L’école des loisirs
Mathieu Hidalf Tome 3 Mathieu Hidalf et le sortilège de Ronces : Mathieu Hidalf n’aurait jamais dû provoquer son père, qui a concocté une vengeance impitoyable : marier son fils à Marie-Marie du Château Boisé, la plus riche héritière du royaume. Le génie de la bêtise ne dispose que de sept jours pour empêcher cette catastrophe… bientôt suivie d’une autre : des élèves de l’école de l’Élite sont brutalement attaqués. Aussitôt, l’établissement est isolé du reste du monde par le sortilège de Ronces… Débusquer un traître, protéger la Foudre fantôme des frères Estaffes tout en cherchant une parade à son union avec Marie-Marie, Mathieu Hidalf a plus d’un défi à relever !
La cité des livres qui rêvent : Notre jeune narrateur de 77 ans, Hildegunst Taillemythes, habite la Forteresse des dragons, en Zamonie occidentale, et aspire à devenir le plus grand écrivain du pays. Dancelot de Tournerimes, son parrain en écriture, lui fait don sur son lit de mort du manuscrit « parfait ». Bouleversé par sa lecture, Hildegunst décide de retrouver son auteur et se rend pour cela à Bouquinbourg, ville où les habitants vivent des livres et pour les livres. C’est là que l’histoire commence… Des chasseurs de livres sanguinaires, des livres dangereux, le roi des Ombres, des Rongelivres, des cyclopes, des gnomes rubigineux… Tels sont les protagonistes de ce roman haut en couleurs, fantastique, onirique, horrifique, et récit d’apprentissage tout à la fois. Un rythme soutenu, de l’action, des citations très amusantes de littérature zamonique (qui rappellent parfois la grande littérature allemande). Beaucoup d’invention, quelques passages d’un lyrisme puissant, de l’humour, de la gravité, et une superbe réflexion sur le marché du livre et la condition d’écrivain. Faust (ou Wilhelm Meister, ou encore Le Roi des Aulnes) mélangé aux Trois Mousquetaires et à une imagerie moyenâgeuse que ne désavouerait pas Umberto Eco Les Grandes Personnes
Moi, ma grand-mère... : «- Moi, ma grand-mère, elle est pilote d'essai.- Moi, ma grand-mère, elle est cosmonaute.- Moi, ma grand-mère, elle apprend à nager aux baleines.- Et toi, ta grand-mère, qu'est-ce qu'elle fait ?». Le livre fétiche de Pef. Gallimard Jeunesse
Le Petit Prince Coup double pour le Serpent : Sur la planète des Bamalias, le Petit Prince va perdre la mémoire. Pour retrouver qui il est, il devra redécouvrir ses souvenirs. Une aventure palpitante qui révélera comment la poursuite de planète en planète sur les traces du Serpent a commencé ! Gallimard Jeunesse
Le cheval magique : Un bâtonnet de glace en bois fut un jour ramassé par une petite fille, Lucie. Elle le rangea dans une boîte, avec ses autres bâtonnets. Le nouveau bâtonnet confia aux autres son rêve d’être un cheval. Et cette nuit-là, ils rêvèrent tous qu’ils étaient un cheval. Les parents de Lucie avaient bien du mal à payer les factures… et la petite fille souhaita avant de s’endormir que sa boîte soit un coffre rempli de pièces d’or, tout en s’apercevant que ses mains avaient fabriqué un petit cheval avec ses bâtonnets. « Un cheval n’a jamais pu payer des factures », dit-elle avant de s’endormir… Mais cette nuit-là, un magnifique cheval du nom de Batonero emmena Lucie à la recherche du trésor des pirates. Grâce à une ruse de Batonero, Lucie put s’emparer du coffre de pièces d’or. Le lendemain matin, en réponse à son père qui se demandait comment ces pièces avaient bien pu arriver chez eux, Lucie dit simplement « Au triple galop ». Et sur ce, les bâtonnets se rendormirent ! Gallimard Jeunesse
L'ogre bouquiniste : La classe de mademoiselle Rosalie et ses dix élèves ont reçu une invitation à « venir dévorer des livres à l’occasion de l’inauguration de la librairie L’ogre bouquiniste ». Tiphaine Lhogre les accueille. Les enfants peuvent ouvrir tous les livres qu'ils veulent ! Bientôt il est l'heure de rentrer à l'école, mais… trois élèves ont disparu ! Leurs livres sont abandonnés par terre. Tout le monde cherche, fouille, dans la librairie et le village, à l'école. Tiphaine finit par avouer à Rosalie que les enfants sont… dans les livres : ce petit pirate, on dirait Gabriel ! Et c’est fou ce qu’Alice au pays des merveilles ressemble à Clara ! Et ce pharaon a le regard d'Amidou ! Elle touche du doigt les images, et les enfants sont à nouveau près d'elle. Tiphaine raconte alors sa malédiction : il est le dernier descendant d’une vieille famille d’ogres. Ils ne mangent plus d'enfants mais les enfants qui les approchent disparaissent. Pour délivrer les enfants, il aurait été obligé de déchirer ses livres qu'il aime tant… Seule une personne aimant profondément les enfants pouvait les délivrer sans détruire les livres. Et Tiphaine a parié que Rosalie était cette personne… Galliimard Jeunesse
De vrais amis : C’était le jour de la rentrée. Sur le chemin de l'école, un garçon vit un drôle de personnage qui se cachait dans un arbre. Il voulut tout de suite être son ami. En classe il demanda à la maîtresse si Lucien (le prénom qu’il lui avait choisi) pouvait s’asseoir à côté de lui. Le soir, il le présenta à ses parents et voulut qu'il mange avec eux, mais sa maman ne mit rien dans son assiette. Le lendemain, à l'école, à chaque fois que quelqu'un s'approchait de Lucien, il devenait un peu transparent. Alors il dit aux autres de les laisser tranquilles. Quelques jours plus tard, tout le monde l'avait oublié. Dans la cour, la maîtresse lui dit qu’il était temps pour lui de trouver de vrais amis. Le soir, à table, sa maman retira l’assiette de Lucien, de plus en plus transparent. En colère, le garçon fila dans sa chambre. Lucien ouvrit la fenêtre et sourit en voyant la lune. Le lendemain il n’était plus là. Finalement le garçon joua avec d'autres enfants. Il se fit même deux amis. Et cette nuit-là, dans le ciel, il vit Lucien, qui avait l'air très heureux, en lune… Gallimard Jeunesse
« Il » prend son bus pressé en retard, toujours le même trajet, les rues qui défilent, un copain, Fadel, qui monte dans le bus mais il ne l’a pas vu, et lui n’a pas envie de parler. Les rues défilent, des gens descendent, d’autres montent. Un type monte : quel âge ? Pas jeune mais pas vieux non plus. « Une silhouette parmi les autres. Rien de particulier. À part son impatience à monter dans le bus. » Le type agresse verbalement Fadel, le ton monte. Puis tout à coup une atmosphère bizarre un calme qui annonce la tempête. Tout le monde baisse la tête, préfère ne rien voir, ne rien savoir, ne rien entendre. « Lui » aussi. Puis soudain un cri plutôt une plainte ! Un bruit de gorge, sourd, un râle. Le bus s’arrête et « lui » descend, s’enfuit, malade de ne pas avoir anticipé, compris, réagi. De rage, d’angoisse, il écrase son poing contre un mur plusieurs fois, son poing en sang. Les flics arrivent voient le sang. Ils s’inquiètent : qui l’a agressé, que s’est-il passé ? Le monde à l’envers ! Lui qui n’a rien fait, justement rien fait ! « Et pourtant, ma parole, je sais bien que j’ai rien fait ! Rien ! Je jure que j’ai rien fait ! Pas levé le petit doigt. Rien ! » Il a fermé les yeux, comme les autres. Et pourtant, maintenant, il passe pour une victime. Oskar
Kevin traverse une mauvaise passe : le collège, les copains, la famille, la vie en général, tout va mal. Mais comment les choses pourraient-elles s'arranger ? Il y aurait bien un moyen : appeler très fort son ange gardien et le supplier, du plus profond de son cœur, de voler à son secours. Encore faudrait-il que les anges existent… Hors une nuit, alors que le jeune garçon pense avoir touché le fond, un ange arrive. Et surprise : c’est une fille, une ado ange gardien, pleine d’humour, mais qui déteste les gros mots et les mauvaises notes. Le jeune ado désespéré et l'ange au nom "secret et mystérieux" forment un étonnant tandem. Grâce à son ange gardien, Kévin va trouver les moyens de réinventer son avenir qui s’annonçait sombre… Oskar
Ling est un garçon de 12 ans dont le pays tremble sous une dictature. Depuis une crue du fleuve Jaune dans laquelle son père a disparu, il s’emploie à soutenir sa mère et Jasmin sa cousine en vendant le produit de sa pêche. Un soir, alors qu’il revient du fleuve, ses pas le dirigent vers les "grands marais", enfer vert aux mystères fascinants qui bordent son village. Il trouve à l’entrée un tout jeune héron à la patte blessée. Dès lors, son souci sera de ramener l’oiseau dans une héronnière pour qu’il puisse mourir en compagnie des siens. Mais les hérons nichent au cœur des marais... Pour Ling commence une quête dangereuse, éprouvante mais riche en enseignements… Oskar
Durant l’hiver 1495, un jeune paysan découvre l’atelier de Maître Martin, le lissier, en pleine effervescence, des métiers à tisser gigantesques et des tapisseries merveilleuses ! Avec de simples fils de laine et de soie, nobles dames, mystérieuses licornes et lions féroces surgissent sous les doigts habiles des hommes qui peignent sans peinture et content des histoires sans parler… Est-ce cela qui tente les voleurs ? Parviendront-ils à leurs fins ? Oskar
Homme dur et sans pitié, le solide Kernok est un pirate qui ne transige pas avec les égarements de ses hommes. Capitaine de L’Épervier, il parcourt les mers à la recherche de trésors, n’hésitant pas à massacrer les occupants – fussent-ils inoffensifs – des vaisseaux adverses… C’est à terre cependant, celle de sa Bretagne natale, qu’il mourra, de la plus étrange façon… Premier roman d’Eugène Süe, cette histoire palpitante de négriers et de sorcières, de vires et d’abordages, d’amour et de mort, est une oeuvre qu’il s’agit maintenant de redécouvrir. Oskar
Oréa est une petite fille sensible qui lorsqu’elle est triste se rend sur son rocher fétiche pour déverser ses larmes dans la mer. Un jour, alors qu’elle est effondrée après avoir vu des enfants soldats à la télé, une voix l’interpelle au-dessous d’elle. Elle croit d’abord que la mer lui parle. Or il s’agit d’un dauphin… Un dauphin qui veut parler aux hommes pour qu’
28 septembre 2012 | Lien permanent
A COMME ASSOCIATION : LE CONCOURS DE FANFICTIONS !
Et si cet été, vous laissiez le démon de l'écriture s'emparer de vous ?
C'est le moment où jamais car pour vous faire patienter jusqu'à octobre, l'Association organise un grand concours de fanfictions.
À gagner : votre exemplaire du tome 8, en avant-première, dédicacé pour vous par Erik L'Homme.
Alors à vos plumes... prêts... imaginez !
Nous attendons vos écrits (3000 signes max) pour le 3 septembre au plus tard : acommeassociation@gmail.com
Le règlement sur le site de la série :
http://www.acommeassociation-leslivres.com/index.asp?file...
A COMME ASSOCIATION : LE CONCOURS DE FANFICTIONS ! par GallimardJeunesse
03 août 2012 | Lien permanent
Mon vrai cahier de vacances
Pas la peine de bouder, ce cahier de vacances la, vous allez l'adorer !
Bel été avec et sur le blog des Sandales...
Ceci est un cahier de vacances particulier, vous allez l’adorer ! En effet, pas de maths, de français, d’histoire ou de trucs bizarres, juste de quoi découper, colorier, gribouiller, faire, refaire, imaginer et s’amuser : elle est pas belle la vie ? Rempli de bonnes idées, mais aussi de bêtises à ne pas faire dans la vraie vie (nous vous déconseillons la pose de moustaches sur les vrais tableaux d’un vrai musée !). De quoi les occuper un bon moment, en utilisant l’original ou comme modèle. Et si la formule vous enthousiasme et que cela ne suffit pas, vous pourrez toujours taper dans les albums déjà parus dont les visuels sont juste en dessous.
Bel été avec ce vrai cahier de vacances
Joseph
Mon vrai cahier de vacances
Emmanuel Kerner
Editions Milan, 13 juin 2012, 10 €
02 juillet 2012 | Lien permanent