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20 janvier 2016

Des Petite Poche avec de nouvelles couvertures : Thierry Magnier

Quatre titres reviennent avec la nouvelle couverture de la collection cette semaine  ! 

 

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Champ de mines : Soyann marche vers la ville, comme sa mère le lui a ordonné avant de s’effondrer : « Marche tout droit. Là-bas la nourriture arrive. » C’est que, dans ce pays africain ravagé par la guerre civile, les hommes font la guerre ou ont été tués, et les familles désertent les villages. Un bruit d’avion détourne Soyann de sa route. Il sait que, dans les avions, des cargaisons de nourriture sont entreposées, alors il fonce à travers la savane, sans savoir qu’elle est truffée de mines. À côté de la piste, Paola, l’infirmière qui travaille pour une ONG, voit l’enfant. Elle veutaller le secourir, mais c’est mettre sa vie à elle en danger, et son jeune garde du corps refuse… Si peu de mots pour dresser le tableau d’une Afrique au quotidien, du rôle des ONG, du danger qui guette les enfants tous les jours. Changement de registre pour Yann Mens. Il retrouve ici un thème qui lui est cher et qu’il connaît bien : l’Afrique Thierry Magnier

 

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Un poussin mouillé au bord de la route : Avant, la soeur de Mathis était normale, elle portait des jupes, jouait même avec lui, mais depuis l’arrivée de Mozart, c’est fini. Elle n’en a plus que pour lui, sa longue queue rose, sa fourrure blanche, ses yeux rouge vif... Nora aime tout ça. Et parlons de ses nouveaux copains, tout en noir, piercings sur le visage… Des monstres et des vampires ! Le pire justement, c’est que même leur mère semble trouver ça normal. En plus Nora va partir en internat, Mathis va se retrouver tout seul, et il a un énorme cafard. Avec qui va-t-il se battre, se disputer, ce pauvre poussin mouillé sur le bord de la route ? Malgré les disputes, les soeurs aînées vous manquent quand elles s’en vont. Thierry Magnier

 

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La nappe blanche : 1910, sa grand-mère brode une nappe de lin blanc pour l’offrir à Jeanne, en cadeaude mariage. 1914, Jean, jeune père part à la guerre. On ne sortira pas la nappe de l’armoire. 1936, premiers congés payés, la nappe est de sortie. 1944, la nappe protège les secrets des résistants. 2014, grande fête familiale et la petite Jeanne se fait raconter l’histoire de la nappe et de sa famille au cours des soixante dernières années. Les héritages précieux se transmettent ici de mère en fille, et ce linge brodé accompagne les grands moments de la famille Thierry Magnier

 

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Ma grand-mère perd la tête : Les vacances chez Grand-Mère c’est toujours la fête. Pourtant, cette année, ses parents ont l’air soucieux de lui laisser leur petite fille. C’est que, depuis la mort de son mari, Grand-Mère a tendance à avoir un peu trop la tête en l’air. Mais, pour sa petite fille, tout est prétexte à rire : le baba aux frites, le cache-cache gâteau, la boîte aux objets trouvés… Ces vacances seront les dernières vacances chez grand-mère, qui va partir dans une maison de retraite. Mais, malgré la tristesse, la petite fille sait que si grand-mère a la tête dans les nuages, c’est pour être plus près de celui qu’elle aime toujours, et qui est parti avant elle… Et que c’est pour lui qu’elle garde son port de reine et ses yeux pleins de malice… Pour une petite fille, on peut toujours aimer sa grand-mère « même sans sa tête ». Thierry Magnier

 

Avis : cette note est un avis de sortie comme l'indique son titre et le fait que le nom de l'éditeur figure en bas des commentaires ! Ce ne sont donc pas nos avis. Malgré notre passion dévorante nous ne pouvons lire toutes les nouveautés qui débarquent chaque semaine. Cette rubrique est destinée à vous informer !

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