Nouveauté Théâtre : Maman Typhon / Le Parasol de Robinson / Bouboule et Quatzieux

L'école des loisirs pour brûler les planches ! 

 

Maman typhon : Talma vit avec sa fille, Camille, au bord de la mer. Le père, lui, sillonne les océans. Quand Talma rentre le soir, épuisée, elle ne prend guère le temps de s’occuper de sa fille, expédie le repas, s’énerve contre elle. Cela ne plaît pas du tout à Camille qui aime grimper sur les armoires pour observer le monde, s’inventer des histoires, parler à sa grenouille, surveiller ses plantations, commander aux éléments. Mais ce qu’elle aimerait par-dessus tout, c’est réussir à calmer sa mère, plus indomptable que les plus fortes tempêtes. Y parviendra-t-elle ? l’école des loisirs

 

Le parasol de Robinson : Cela s’est passé un soir. Il y a eu des explosions, les étoiles ont filé à vive allure, et puis soudain, la nuit. Tylène et Jane se sont retrouvés sur un terrain de foot. Ils y ont rencontré Monsieur Frère qui vit tout seul, dans une cabane, et qui n’a pas l’air de s’inquiéter de ces étranges phénomènes. Il en a vu d’autres. Puisque c’est la fin du monde, autant faire connaissance. Et puis, qui sait si lai fin du monde n’est pas le début d’un autre monde ? Tylène : Quelle nuit étrange. La fille : Regarde les étoiles. On dirait qu’elles s’enfuient. Tylène : Elles reviennent de l’autre côté. La terre est ronde. Bien obligées. La fille : Tylène, je voudrais te dire que je suis contente d’exister, même si ça fait tout drôle. Tylène : Moi aussi, je ne sais pas pourquoi, mais je suis content d’exister. La fille : Peut-être parce que c’est la première fois ? Tylène : Oui, peut-être parce que c’est la première fois. Un grand éclair déchire le ciel. La fille : Peut-être aussi parce que c’est la dernière fois ? l’école des loisirs

 

Bouboule et Quatzieux : Jordan, dit Bouboule, et Arthur dit Quatzieux n’ont aucune raison d’être amis. L’un est en échec scolaire et ne songe qu’à manger ; l’autre est premier de la classe et soigne à l’excès son vocabulaire. Pourtant ils ont un point commun qui les rend inséparables. Tous les deux ont le même tortionnaire. L’affronter, ils n’y songent pas. Alors, ils l’évitent en se cachant dans un container. Jusqu’à quand durera leur calvaire ? JORDAN : Il arrive ! ARTHUR : Qui ça ? JORDAN : Lui ! Il arrive. Aujourd’hui je me suis caché pour pas lui donner mon goûter. Du coup, Il doit avoir trop les crocs ! Et Lui, quand il a faim ça craint pour moi ! l’école des loisirs