22 mai 2015
Petite Poche : la Grande Collection
Elle revient habillé de lumière et de couleurs et de formes psychédéliques. Les anciens titres mais aussi cinq nouveautés : youpiiiiii
La gelée d'été : Pierre et Jean passent leurs vacances d’été scotchés devant la télé, et ça leur va bien. Hélas ! celle-ci rend l’âme et les fonds manquent pour la remplacer. Comment vivre sans télé ? Les deux enfants vont devoir sortir de la maison, rencontrer des voisins, cueillir des mûres. Ce texte à l’humour léger, tendre et acide à la fois, met en scène une bande de copains à la campagne qui découvrent les joies simples de la cueillette et de la préparation de gelée. Thierry Magnier Petite Poche
Le Terrible effaceur : Dans une vallée tranquille, les maisons, les coeurs et les esprits restent largement ouverts et chacun vit heureux. Un jour, le terrible effaceur arrive. Armé de sa terrible gomme magique, il impose sa loi, efface les rires, la joie et les couleurs, et on ne respire plus que tout bas. Mais une enfant se rebelle alors que les adultes se taisent et son sourire lumineux vient à bout de la fureur du tyran. Les enfants ont ce pouvoir-là. Ce conte rédigé comme une poésie, à la manière si particulière de Marie-Sabine Roger, est une ode à la résistance. Thierry Magnier Petite Poche
Les trois caramels capitaux : Il a mené une belle vie simple et honnête, sans taches. Aussi lorsqu’il meurt la première fois, il est sûr d’avoir gagné son paradis. Oui, mais Saint Pierre n’est pas de cet avis : à l’âge de sept ans, il a volé trois caramels, il doit donc redescendre sur Terre pour tout recommencer… Jean-Claude Mourlevat nous revient après dix ans d’absence avec une fable savoureuse et décalée. Thierry Magnier Petite Poche
Pas de problème ! : Alors qu’elle est au café avec sa mère, Theodora s’interroge sur le sens de l’expression toute faite « pas de problème » formulée par le serveur. C’est quoi un problème ? Et comment les résoudre ? Theodora a une solution : « Faut qu’on discute ! », ou comment le dialogue permet de dénouer bien des situations ! La verve et le sens des personnages de Susie Morgenstern fonctionnent une fois de plus à merveille. Thierry Magnier Petite Poche
Trop fort, Victor ! : Tout le monde ne parle que de ça, chacun a son avis, son analyse, tout le monde sauf Victor : prise d’otages dans un collège par des hommes armés. À la maison pas de télé, sa maman est contre, contre les téléphones portables pour les enfants aussi. Il se sent bien seul, Victor, dans ces moments-là, et il attend avec impatience le retour de son père qui aura sans doute bien des choses à lui raconter à propos de ce fait divers… Écrit depuis un bon moment, ce texte résonnera sûrement différemment aujourd’hui, mais son humour et le point de vue du narrateur le gardent loin du drame. Thierry Magnier Petite Poche
Vivement jeudi ! (NE) : Le mercredi, jour des enfants, on se repose, on fait la grasse matinée... Sauf lorsque l’on a un agenda de ministre, des activités diverses : équitation, solfège, danse et piscine. L’emploi du temps du mercredi devient alors une vraie course contre la montre, épuisante. Vivement jeudi pour se reposer à l’école ! Thierry Magnier Petite Poche
L'homme qui levait les pierres (NE) : Ruper Oaza est l’homme le plus fort du monde. Chaque dimanche, sur la place du village, il soulève une énorme pierre devant toutes les familles des environs, rassemblées pour contempler l’exploit. Peio vit seul avec sa mère. Petit et malingre, il est fasciné par la force de Ruper Oaza, et il lui demande un jour d’être formé. Au bout de cinq ans, Peio remplace Ruper un dimanche après-midi sur la place du village. Mais, devant la grosse pierre, Peio s’envole... Son don n’est pas le même : lui, il a la légèreté, ce après quoi Ruper a toujours couru sans la trouver. Thierry Magnier Petite Poche
L'homme qui ne possédait rien (NE) : Dans une oasis du désert vivait un homme qui ne possédait rien. Le soir, il s’asseyait sur la dune et regardait les étoiles monter dans le ciel. Un jour, un chameau passe et lui propose de l’amener de l’autre côté du désert, à Topka. Ils cheminent longtemps, et l’homme s’installe dans cette ville où il travaille, s’enrichit, se marie... et oublie le chameau. Il devient l’homme le plus riche de toute la cité de Topka mais, le grand âge venu, la nostalgie de son oasis le taraude. Alors le chameau revient et le ramène. Thierry Magnier Petite Poche
Sur le bout des doigts (NE) : C’est l’été, Tom fait du canyoning avec son père et son chien, la peur au ventre. À leur retour, à la maison, sa mère est partie à la maternité. Tom et son père partent la rejoindre, Tom découvre du bout des doigts sa petite soeur, Tom est aveugle. Coup de coeur pour ce texte tout en sensations. Jamais le mot « aveugle » n’est prononcé, et le lecteur découvre la vérité en suivant les cailloux blancs du texte, s’il est attentif. Thierry Magnier Petite Poche
Mollo mollo le matin et pas trop vite l'après-midi (NE) : Prune attend tous les jours une lettre d’Augustin au village de Mollo-en-Borgne où elle passe ses vacances, un vrai trou perdu. La lettre n’arrive pas, et quand elle arrive, c’est la déception. Augustin a la tête et le coeur ailleurs. Alors les vieux habitants du hameau, qu’elle trouvait si ennuyeux, vont se mettre en quatre pour la faire rire, la divertir. Thierry Magnier Petite Poche
Le goût de la tomate (NE) : Dans ce monde-là, on ne mange plus que de l’artificiel, les jardins ont disparu : il est interdit de cultiver, cueillir, récolter. Clovis et son père Marius font pousser en grand secret un plant de tomates. Une fois au moins, Clovis goûtera un produit frais, au goût de liberté… Thierry Magnier Petite Poche
Cinq, six bonheurs (NE) : Une rédac pour les vacances, quel cauchemar ! Et le sujet le plus barbant du monde : Le bonheur ! Parce qu’il sèche complètement, Théophile interroge tour à tour, son père, sa mère, son petit frère, sa grand-mère. Et chacun a sa propre version ! Et pour Théophile, le bonheur, c’est quoi ? Terminer sa rédac le plus vite possible, sans doute... Mais aussi et sûrement se rouler dans la neige fraîche, seul, un dimanche d’hiver, rentrer trempé à la maison, penser au chocolat chaud qui attend, aux joues piquantes de son père, aux bras qui serrent fort de sa mère, au rire idiot de son petit frère. Thierry Magnier Petite Poche
Le Père Tire-Bras (NE) : Le Père Tire-Bras habite une caverne cachée au fond de la rivière depuis des siècles. Monstre redouté, il avale et croque tout ce qui s’aventure imprudemment à la portée de ses bras tentacules. Il a un goût particulier pour les enfants. Tout le monde le sait, mais Olivier n’y croit pas. Un beau jour, Olivier provoque le Père Tire-Bras et se retrouve ligoté au fond de la caverne humide. Mais le monstre est au plus mal, ravagé par la pollution de la rivière. Thierry Magnier Petite Poche
Je t'aime (NE) : Mina a des critères très sélectifs pour se trouver un amoureux... Elle passe en revue les garçons de sa classe à qui elle pourrait offrir son coeur (une oeuvre d’art amoureusement dessinée qu’elle cache dans son cartable). Tous les garçons sont impitoyablement éliminés, sauf un, Raphaël, le nouveau. Oui mais Raphaël, il s’en fiche. Qu’importe, Mina attendra le temps qu’il faut. Thierry Magnier Petite Poche
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