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Le marteau de Thor
Patrick Weber.
Editions Gulf Stream, Collection Courants Noirs, septembre 2009, 13,5€
La consternation règne sur le village Viking de Randheim, le bateau de leur chef Bjorn Le Brave vient de rentrer au port mais rempli de morts, avec un barreur mourant et un chef disparu !
Que vont devenir son fils Kern et sa mère Freya ? Quel avenir leur sera réservé, alors que les ambitions d'Egill le Rusé et de ses deux fils font surface pour obtenir et garder le pouvoir ? Mais des évènements étranges ont lieu : Kern retrouve le Marteau de Thor de son père posé sur son oreiller un matin au réveil, qui l'a déposé ? Pourquoi les vols, les meurtres se multiplient-ils ? Cela vient-il de la colère de dieux comme certains semblent vouloir le dire ? Pourquoi les runes annoncent-elles d'étranges évènements ?
En danger Kern l'est, c'est évident ! Mais qui lui en veut et pourquoi ? Son père est-il vraiment mort et dans quelles conditions ? Ou alors est-il revenu du Walhalla pour se venger de son, de ses assassins ?
Qui, que se cache derrière ces évènements plus ou moins naturels ?
C'est à une plongée dans le monde des Vikings, de leurs légendes, de leurs lois à laquelle nous invite Patrick Weber. Bien documenté, le marteau de Thor, est un très bon roman, dont le rythme monte peu à peu et nous entraine dans des aventures étranges dépaysantes. Un roman dont les personnages ont de multiples facettes qui permettent des aventures nombreuses et tortueuses.
Montez à bord de ce Langskip fantôme et laissez vous emporter au pays des Vikings.
Un très bon moment de lecture notamment pour les amateurs d'histoire de Vikings et de légendes nordiques.
Joseph
05 décembre 2009 | Lien permanent
Ils feront 2015 : The Young World
Il débarque la semaine prochaine : un roman post-apocalyptique dont l'action se déroule dans les vestiges de New-York. Premier roman de Chris Weitz, réalisateur fétiche des adolescents (Twilight II...)
"Manhattan, XXIe siècle. Un virus a décimé toute la population des États-Unis, à l'exception des adolescents. Plus d'électricité, plus d'eau courante, plus de transports, plus d'Internet, les jeunes sont livrés à eux-mêmes dans la ville qui ne dort jamais. L'Upper East Side est devenu le territoire des Résidentiels, tribu violente et machiste qui domine le marché noir. Dans le Village, plusieurs tribus coexistent plus ou moins pacifiquement.
Parmi eux, les Washington Square. Il y a Donna, Jeff, Peter, Brainbox et Opaline. Cinq ados privés de repères qui ont vu leur avenir se désintégrer sous leurs yeux. Lassés d'attendre la mort, ils partent à travers Manhattan pour tenter de retrouver l'origine du virus qui a décimé le continent. Relecture moderne de Sa Majesté des mouches, The Young World happe le lecteur dès les premières pages grâce à des personnages bien campés et des rebondissements en chaîne." MsK
03 janvier 2015 | Lien permanent
Princesse des os
Le nouveau roman de Charlotte Bousquet : plongez dans la Rome antique...
Princesses des os ; Charlotte Bousquet ; Editions Gulf Stream ; Collection : Courants noirs ;
28 octobre 2010, 13,5 €
C’est à Rome en 120 de notre ère à l’aube du règne d’Hadrien, que nous invite Charlotte Bousquet. Lucretia a perdu son père. Sa mère Octavia s’est remariée. Le fils de ce riche patricien, Titus, (son beau frère qu’elle adore) est enlevé dans des circonstances curieuses. Sa belle sœur Lucretia et ses esclaves dévoués Méroé et Dîn vont se lancer ,malgré les dangers de l’Urbs, à sa recherche. C’est une enquête envoûtante et passionnante dans la Rome antique qu’a réussi là Charlotte Bousquet.
La ville éternelle vibre sous les pas de ses héros, on a le sentiment de croiser la foule dans les rues, sur les forums. Les odeurs des gargotes montent jusqu’à nous et d’autres moins réjouissantes dans les faubourgs pauvres et délaissés de la grande ville. Les premiers chrétiens cachés, les nécromanciens du culte d’Hécate se côtoient, les rumeurs, gonflent sur les chrétiens et sur les héros avec notamment les tags romains faisant courir les pires insinuations sur Octavia par exemple. Complots, haines farouches, familles déchues, courses de char, histoire d’amour, d’amitié indéfectible, place des femmes dans ce monde brutal et masculin, sont au rendez-vous. Ce roman vaut par son cadre et le rendu fantastique qu’a su en donner l’auteur, mais également par la profondeur et la psychologie de ses personnages attachants, ou monstrueux. L'angoisse monte au fil des pages : le petit Titus survivra-t-il à ses monstrueux ravisseurs ?
Une fois de plus, un grand roman dans cette collection formidable. A ne pas manquer !
Jean-Luc
20 décembre 2010 | Lien permanent
Les gentlemen de la nuit
Le nouveau roman de la collection Courants Noirs chez Gulf Stream est signé Béatrice Nicodème, et déjà on se dit que c’est bon signe. Découvrez l’île de Wight et la bande Curtis : Ebenezer le père, Conan et Jarrod les fils et Elizabeth la fille. Autour d’eux gravitent toute une série de personnages bien campés, de l’aubergiste aux mains baladeuses, à l’instituteur du village (comptable des gentlemen de la nuit) en passant par le médecin de l’île nouvel arrivé Gabriel Howard, et enfin les requins (surnom donné aux douaniers par les contrebandiers). Des coups qui tournent à la catastrophe, des accidents, des caches, un mort, un traître, un évadé, le mystérieux Georges… autant de mystères et d’évènements de personnages autour desquels et avec qui Béatrice Nicodème tisse sa toile pour nous raconter une histoire passionnante.
La famille Curtis saura-t-elle se remettre des coups durs qui la frappent ? Que cachent Thomas et Gabriel Howard ? Qui a intérêt à trahir et à tuer ? Autant de questions auxquelles il vous faudra répondre en découvrant ce roman en plein dix-huitième siècle.
On retrouve avec bonheur Béatrice Nicodème qui avait signé un des premiers romans de la collection, l’excellent : Ami, entends-tu…
De nouveau un excellent roman et un très très bon moment de lecture captivante !
Jean-Luc
Les gentlemen de la nuit ; Béatrice Nicodème ; Editions Gulf Stream,
poche, juin 2016, 6,5 €
20 août 2018 | Lien permanent
L'oeil de Seth
Béatrice Egémar
Editions Gulf Stream, Collection Courants Noirs, janvier 2010, 13,5€
C'est fait, Béatrice Egémar est passée au grand format. Et c'est pour notre plus grand plaisir. Après Hori, elle passe dans la cour des grands (livres) avec l'œil de Seth. Bien évidemment, elle reste dans son domaine de prédilection, qu'elle maîtrise avec une rare maestria : l'Egypte antique.
Le livre ouvre sur la douleur d'une mère, Ménat qui voit ses forces décliner peu à peu et qui va chercher à protéger son fils Sény. Entouré de l'amour de son père Paser, celui-ci va grandir jusqu'au jour ou un mystérieux notable de la cour de Pi-Ramsès, Imenher vient le chercher et tout bascule. C'est en le suivant à la capitale du royaume, en découvrant sa villa, la cour de Pharaon, son harem, que l'on va plonger dans un monde à part. Béatrice Egémar maîtrise tellement bien son sujet que dès les premières lignes de son roman, vous allez avoir la sensation de sentir le souffle chaud du vent du désert sur votre nuque, vous aurez l'impression de vous immerger totalement comme si vous étiez à côté du héros et de ses amis : Ta, Néféret, et également la reine Hathor, l'échanson Hounefer, dame Rosou, les serviteurs, les roseaux du Nil, les crocodiles, la chasse à l'hippopotame... De quel secret Sény est-il porteur ? Pourquoi attise-t-il tant d'intérêt ? Que cachent ces crimes qui jalonnent son parcours ? Qui a intérêt à l'utiliser ? Un polar dans l'Egypte antique, formidablement bien documenté rythmé qui monte progressivement en tension avant l'emballement final. Le plus de ce roman formidablement bien écrit c'est qu'il allie érudition et plaisir de la lecture, en effet, jamais vous n'aurez le sentiment d'être enfermé dans un livre d'histoire ou alors au bon sens du terme : passionnant !
Jean-Luc
12 février 2010 | Lien permanent
La Belle et la Bête
Une merveille : David Sala au sommet de son art ! Sublime !
Quelle claque ! On a beau se dire qu’on connaît David Sala et qu’on l’aime, chaque nouvel album est une merveille et une vague d’émotion qui vous emporte plus loin, plus fort. C’est encore le cas avec cette illustration du conte de Madame Le Prince de Beaumont qui nous embarque dans le monde cruel de la malédiction et des hommes au cœur noir. Le texte d’abord fort, beau, sans concession, qu’on retrouve avec toujours le même plaisir et puis toujours des surprises au détour d’un passage, d’une page qui en fonction de l’humeur du jour va vous surprendre et attirer votre attention plus particulièrement.
Les illustrations ! Comment dire l’émotion. On dit souvent que les illustrations de David Sala font penser au peintre Gustave Klimt, l’une des stars du courant Art Nouveau du début de XXème siècle. Ce travail, peut-être celui qui nous en rapproche le plus, est absolument saisissant, les filles de l’homme qui va rencontrer la bête donnent le ton dès les premières illustrations de l’album, la suite nous ballade de tableaux en tableaux aux atmosphères changeantes, mouvantes comme celles de l’histoire. Des bleus profonds, des violets impressionnants, des corps fluides rappelés dans les différents tableaux par des formes mouvantes qui donnent vie et magie à l’histoire. Le doré bien évidemment revient de façon ponctuelle et cette double page à la fin où la bête se meurt est impressionnante de beauté et de sensualité tout comme la dernière illustration montre à la fois le retour à la vie et la cruauté de la punition pour les sœurs avides de la Belle.
Cet album est magique et somptueux, David Sala est impressionnant de maîtrise et d’émotion, il sait nous emporter dans son univers loin, très loin et nous faire savourer comme jamais peut-être la magie de cette histoire. Absolument indispensable !
Jean-Luc
La Belle et la Bête
Jeanne-Marie Leprince de Beaumont
Illustrations : David Sala
Editions Casterman Jeunesse, 15 octobre 2014, 18,5 €
27 octobre 2014 | Lien permanent
Lecture ou relecture de confinement : Contes de Baïka : Epopées, mythes et légendes du Brésil au Japon
Un recueil de contes totalement indispensable dans toutes les bonnes bibliothèques familiales, personnelles ou collectives : coup de coeur pour un livre pas comme les autres qui nous transporte ailleurs en ce début de 2019
Ce recueil de contes d’épopées, mythes et légendes l’une des excellents surprises de la fin de l’année précédentes. Il nous offre la possibilité de découvrir et d’ouvrir nos horizons sur des textes, des faits, des personnages et des cultures multiples et différentes : on passe ainsi du Congo, au Brésil pour remonter vers le froid de la Finlande avant de plonger vers l’aest et l’Inde, de se laisser porter par les courants pour retrouver une légende maori, revenir vers un mythe mésopotamien, repartir vers la verte Irlande, se doper à une légende russe avant de partir vers le Japon et de terminer la visite par une légende kurde.
Chaque texte est présenté rapidement et remis en contexte et ensuite c’est parti : les histoires ont été réécrites, transcrites avec beaucoup de soin et on aime entendre les mots, la langue glisser et nous entrainer vers d’autres mondes à la rencontre de créatures et de personnages merveilleux, cruels, fragiles et beaux !
Des histoires suffisamment longue pour qu’on puisse y trouver son compte en une lecture, une par soir et par envie de balade tout autour du monde.
Un recueil superbe, édité en version tranche toilée magnifique et avec des illustrations modernes, puissantes et belles comme on aime les trouver pour s’évader et voyager tout autour du monde avec des passages au noir et blanc puis à la couleur éblouissante, de la minutie au travail plus dense plus éclaté, c’est un régal.
Jean-Luc
Contes de Baïka : Epopées, mythes et légendes du Brésil au Japon
Collectif : textes repris par Noémie Monier, Claire Lecoeuvre, Bastien Varoutsikos
Illustratrices et illustrateurs : Grace Easton, Sylvie Bello, Jesus Cisneros, Aolonia Stankiewicz, Chiara Armellini, Marion Lancereau, Yelena Bryksenkova, Clothilde Staës, Violetta Lopiz.
Editions les éléphants, 18 octobre 2018, 18 €
27 avril 2020 | Lien permanent
Contes de Baïka : Epopées, mythes et légendes du Brésil au Japon
Un recueil de contes totalement indispensable dans toutes les bonnes bibliothèques familiales, personnelles ou collectives : coup de coeur pour un livre pas comme les autres qui nous transporte ailleurs en ce début de 2019
Ce recueil de contes d’épopées, mythes et légendes l’une des excellents surprises de la fin de l’année précédentes. Il nous offre la possibilité de découvrir et d’ouvrir nos horizons sur des textes, des faits, des personnages et des cultures multiples et différentes : on passe ainsi du Congo, au Brésil pour remonter vers le froid de la Finlande avant de plonger vers l’aest et l’Inde, de se laisser porter par les courants pour retrouver une légende maori, revenir vers un mythe mésopotamien, repartir vers la verte Irlande, se doper à une légende russe avant de partir vers le Japon et de terminer la visite par une légende kurde.
Chaque texte est présenté rapidement et remis en contexte et ensuite c’est parti : les histoires ont été réécrites, transcrites avec beaucoup de soin et on aime entendre les mots, la langue glisser et nous entrainer vers d’autres mondes à la rencontre de créatures et de personnages merveilleux, cruels, fragiles et beaux !
Des histoires suffisamment longue pour qu’on puisse y trouver son compte en une lecture, une par soir et par envie de balade tout autour du monde.
Un recueil superbe, édité en version tranche toilée magnifique et avec des illustrations modernes, puissantes et belles comme on aime les trouver pour s’évader et voyager tout autour du monde avec des passages au noir et blanc puis à la couleur éblouissante, de la minutie au travail plus dense plus éclaté, c’est un régal.
Jean-Luc
Contes de Baïka : Epopées, mythes et légendes du Brésil au Japon
Collectif : textes repris par Noémie Monier, Claire Lecoeuvre, Bastien Varoutsikos
Illustratrices et illustrateurs : Grace Easton, Sylvie Bello, Jesus Cisneros, Aolonia Stankiewicz, Chiara Armellini, Marion Lancereau, Yelena Bryksenkova, Clothilde Staës, Violetta Lopiz.
Editions les éléphants, 18 octobre 2018, 18 €
07 janvier 2019 | Lien permanent
Faim de loup
Eric Pintus
Illustrations Rémi Saillard
Editions Didier Jeunesse, 28 février 2010, 11,9 €
« La faim, c'est la faim, tu as faim » c'est le leitmotiv de cet album dont le héros est un loup, un superbe loup dessiné par Rémi Saillard. Son histoire c'est Eric Pintus qui nous la conte, oui le papa de Ours qui lit. (voir chronique sur le site) La faim serait-elle une obsession chez cet auteur ? Dans le volume précédent, Ours boulotte tout ceux qui le dérangent dans sa lecture. Ici vous allez suivre un loup, affamé, qui fuit les hommes ces prédateurs si dangereux. Une fois à l'abri des bois, il tombe dans un piège creusé par les hommes et là pas moyen d'en sortir, et la faim... Et là horreur : je vous laisse découvrir, le cauchemar rencontré par ce loup prisonnier dans son trou avec l'arrivée d'un nouveau venu qui va s'en donner à cœur joie Et c'est un moment formidable qui risque fort de déclencher le rire chez nos jeunes amis et chez les autres aussi. Mais comme dans tous les bons contes la bestiole en question risque fort de ne pas rire très longtemps. Une petite merveille de nouveau, l'histoire, le vocabulaire, Eric Pintus est un conteur né, merveilleux. Quant aux dessins : ouaous ! Il faut découvrir Faim de loup : un grand moment.
Eric Pintus : Pour le décrire, les adjectifs se bousculent, des synonymes et leurs contraintes : baroudeur, complice, révolté, inquiétant, tendre, rugueux, émotif... Conteur ou verbe haut, féru d'humour et de série noire, il nous a livré avec Ours qui lit son premier album, un texte mordant qui sous couvert du rire et de la farce, nous dit la force du langage. Faim de loup prend le même chemin !
Rémi Saillard : diplômé des Arts décoratifs de Strasbourg en 1981, il s'exprime à travers la gravure, la plume ou l'encre, et s'amuse à proposer des techniques différentes. Son trait vif et stylisé, ses couleurs franches donnent un coup de folie au texte, offrant une météo colorée, ave des courants d'air saisissants et des pointes de surréalisme. Déjà parus chez Didier Jeunesse : Jo Junior, Le poussin et le chat, Le pou et la puce.
Sources : textes et images. Merci à ... et avec l'aimable autorisation des éditions Didier Jeunesse : http://www.didierjeunesse.com/
Jean-Luc
01 mars 2010 | Lien permanent | Commentaires (1)
Gulf Stream en poche
Deux superbes titres de la collection Courants Noirs rejoignent la collection poche ! On aime !
Les Gentlemen de la nuit : ÎLE DE WIGHT, 1786. Sur l’île de Wight, on est contrebandier de père en fils depuis des générations. Une des bandes de ces gentlemen de la nuit est dirigée d’une poigne de fer par Ebenezer Curtis, secondé par ses deux fils et sa fille, Elizabeth. Mais les affaires sont difficiles, car les gardes-côtes sont partout à la fois.
Alors que les contrebandiers s’efforcent de démasquer un traître qui sévit dans leurs rangs, un officier des douanes est retrouvé mort au pied d’une falaise. On soupçonne Gabriel Howard, le médecin récemment installé sur l’île avec son fils Thomas. Tout le monde s’en félicite, sauf Elizabeth, qui ne supporte pas l’idée que cet homme soit accusé à tort. Le seul moyen d’innocenter celui qu’elle aime serait de révéler tout ce qu’elle sait, et donc de trahir les siens. Elle n’a d’autre choix que de démasquer l’assassin, aidée par le jeune Thomas, déterminé à sauver son père. Or elle devra faire vite : un débarquement se prépare et ses compagnons pourraient bien encore une fois tomber dans un piège. Gulf Stream
Kabylie Twist : SAINT-TROPEZ / KABYLIE, 1960-1962. La vie sourit à Ricky Drums, le batteur des Fury’s. Tous les vendredis soir, leur twist fait un tabac sur la place des Lices, à Saint-Tropez. Avec lui, Sylvie vit à deux cents à l’heure au volant de son Aston Martin, pieds nus et cheveux au vent. Et un beau un matin, Ricky reçoit ses papiers militaire. Il doit partir. Pour l’Algérie… Là-bas, de l’autre côté de la mer, à Djidjelli, Najib resquille souvent le cinéma Le Glacier où il dévore les films qui défilent
sur l’écran. Mais sa vie à lui, c’est pas du cinéma : d’un côté, il y a le F.L.N. et, de l’autre, Claveline, la petite-fille de La Muda. Une Française… À Oran, Lopez vient de décrocher son bac. Ici, ça suffit pour devenir inspecteur de police. Il est joyeux, Lopez, terminée la misère. Mais sa toute première enquête se révèle une poudrière minée par les secrets de « grande muette ».C’est là, dans un petit port inondé de lumière, qu’il va croiser les destins de Najib, de Sylvie, de Ricky, abandonnés par l’insouciance des sixties, plongés malgré eux dans la violence et les déchirements de la guerre… Gulf Stream
Avis : cette note est un avis de sortie comme l'indique son titre et le fait que le nom de l'éditeur figure en bas des commentaires ! Ce ne sont donc pas nos avis. Malgré notre passion dévorante nous ne pouvons lire toutes les nouveautés qui débarquent chaque semaine. Cette rubrique est destinée à vous informer !
04 juin 2016 | Lien permanent