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03 septembre 2012

J'ai pas le temps !

Un titre d'actualité : si vous êtes un minimum attentif dans les jours qui viennent vous allez l'entendre ou le prononcer souvent ...

 

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L’énigme du temps : un thème fascinant s’il en est que l’on retrouve partout dans la littérature et notamment en jeunesse.
Qu’est-ce que le temps ? Qu’est-ce qui nous donne le sentiment du temps qui passe ? Quelle heure est-il ? : quelles sont les lois qui régissent le temps qui passe ? Sommes nous tous des lapins blancs d’Alice au pays des Merveilles en puissance ?
Un temps différent mesuré que celui ressenti ! Un temps qui nous enseigne la patience, le rapport au passé.
Un petit livre qui nous montre les multiples facettes du temps de ce qu’il est, peut-être, difficile à raconter en quelques phrases : le mieux c’est de le lire !

On aime le format, le tutoiement qui invite le lecteur à se sentir pris dans une forme de conversation, les citations pleine page en fond coloré et cette petite chouette rigolote, véritable fil rouge qui nous présente les auteurs cités ou nous explique en quelques mots certains termes ou notions compliqués.

En ce temps de rentrée, de temps qui file et qui se rétrécie, une lecture salutaire !

 

Joseph

 

Prenez le temps d'un clic pour découvrir les autres titres de cette formidable collection... 


Tous ces titres appartiennet à la collection Chouette ! Penser
des éditions Gallimard Jeunesse Giboulées.


 

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Pourquoi aimes-tu tes amis ? L’homme ne peut faire autrement que de tisser des liens avec ceux qui l’entourent. Mais qu’y a-t-il de si particulier dans l’amitié, qui la distingue des  autres formes d’amour et d’attachement ? L’ami est comme un autre soi-même avec lequel on partage tout. Mais c’est la liberté de se comporter, de se confier, d’agir ensemble qui fait le prix de l’amitié ; cette bienveillance réciproque à orienter l’autre vers ce qui sera le meilleur pour lui ; la mémoire des moments partagés, comme une expérience commune de la liberté ... Être en amitié, c’est être vivants, ensemble

 

 

 

 

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Obéir ? Se révolter ? : Les parents commandent, les enfants obéissent : dans ce cas, la relation est naturelle. Mais elle ne l’est pas ailleurs. Pourtant, les hommes obéissent à leurs  patrons, aux lois, aux gouvernants : c’est ainsi que se maintient l’ordre social. Mais pourquoi obéit-on et jusqu’où faut-il aller ? Quel type d’obéissance, en société, laisse intacte la capacité de juger, sinon une obéissance réfléchie et librement consentie ? Car on peut obéir et... cesser d’obéir : quand le pouvoir est exercé contre l’intérêt général et que les lois sont injustes et nocives. Résister, c’est faire reconnaître qu’on existe. Se révolter, c’est rappeler aux gouvernements qu’ils ont besoin du consentement des peuples s’ils ne veulent pas s’enfoncer dans la tyrannie.

 

 

 

 

 

 

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Pourquoi les hommes se disputent-ils à propos de Dieu ? : Dieu existe-t-il ? Où est-il ? Comment s'appelle-t-il ? Que faisait-il avant de créer le monde ? On peut poser quantité de questions à propos de Dieu, mais les  réponses manquent. On peut croire en lui ou non, mais l'on ne sait rien avec certitude. Pourquoi, alors, les hommes se disputent-ils à propos de quelqu'un ou de quelque chose dont ils ne savent rien ? Pourquoi se font-ils la guerre au nom des religions ? Qu'il existe ou non, Dieu est l'enjeu de nombreux conflits, et l'on cherchera à comprendre pourquoi en se demandant ce qu'il représente pour les hommes. Est-il possible de mettre un terme à ces disputes, ou bien les hommes sont-ils condamnés à se battre au nom de ce qu'ils ignorent et à se haïr au nom de ce qu'ils aiment ?

 

 

 

 

 

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Pourquoi les hommes font-ils la guerre ? : Nous n'aimons pas la guerre, qui n'apporte que souffrances et tourments et qui sème la mort. Mais peut-on imaginer un monde sans guerres? En quoi la guerre  diffère-t-elle des autres formes de violence? La guerre n'est-elle que la manifestation de l'agressivité naturelle ou bien est-elle liée à la vie en société? Et s'il en est ainsi, comment a-t-elle évolué au fur et à mesure que la culture a progressé? Pourquoi n'a-t-elle pas disparu avec les progrès de la civilisation? Toutes les guerres se valent-elles et peut-on parler de guerres justes ou injustes? A toutes ces questions, il n'y a pas de réponse simple ni de réponse toute faite mais il convient au moins de les poser: elles permettent de réfléchir à la façon dont les hommes vivent ensemble.

 

 

 

 

 

 

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Vivre avec l’étranger : L'étranger, c'est celui qui vient du dehors, de l'extérieur. Il est autorisé à circuler, séjourner ou résider dans notre pays, où il est en situation  irrégulière. Il ne parle pas notre langue, ne partage pas notre mode de vie. Le touriste, l'étudiant, le réfugié ou l'immigrant ont des parcours différents dans le pays qui les accueille, mais ils ont en commun le sentiment de perdre leurs propres repères, leurs façons de faire, leurs manières de vivre, et la nostalgie de leur pays d'origine... Aller à la rencontre de l'étranger peut déranger et questionner nos évidences c'est le propre de la philosophie, mais de tels échanges enrichissent les langues, nos choix de vie et notre vision du monde. Rien de ce qui est humain ne nous est étranger.

 

 

 

 

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Un lieu à soi : Nous vivons tous quelque part. Certains peuples sont nomades, mais la plupart des hommes s'approprient un lieu pour y habiter ce lieu à soi qui constitue un peu de  nous-mêmes, permet d'être ce que l'on est et comme on est. Mais l'être humain ne se définit pas seulement par ses origines, sa nationalité ou les espaces où il vit... Par exemple, devenir adulte, c'est rencontrer d'autres lieux, parfois très éloignés, des milieux différents et à la fois complémentaires, s'ouvrir aux savoirs et aux pratiques qui existent ailleurs ou à d'autres époques. C'est en plantant d'autres racines, en multipliant ses points d'attache, en se confrontant à d'autres points de vue possibles, que l'homme se définit comme un être de culture et un citoyen du monde.

 

 

 

 

 

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Sommes nous libres ? : Comment se fait-il que parmi les hommes certains soient libres et d'autres non ? Comment déterminer si l'un d'entre eux est libre, alors que tant de personnes  autour de lui semblent esclaves ? Est-ce que la liberté se voit du dehors ? Les esprits libres seraient en ce cas reconnaissables à leur insolence, peu respectueux des conventions et désireux de faire ce que bon leur semble. La liberté s'éprouve-t-elle plutôt de l'intérieur, dans une expérience intime ? Etre libre consisterait alors à ne pas être sous influence, à décider en connaissance de cause, à ne dépendre de personne d'autre que de soi. Enfin, peut-il arriver, et à quelles conditions, que l'on renonce à sa liberté, faisant ainsi le choix de la servitude volontaire ?

 

 

 

 

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Regarder le paysage : Depuis que nous sommes enfants, nous regardons le paysage : c'est notre façon de parcourir le monde et de le connaître. C'est avec des images que nous avons  appris à découvrir le paysage : avec la peinture et plus tard avec la photographie et le cinéma. En sorte qu'aujourd'hui nous vivons la tête pleine d'images de la Terre tout entière : nous habitons le monde à la fois en portant les yeux sur ce qui est proche de nous, à notre échelle ordinaire, mais aussi - grâce à la technique - sur une immensité, comme la Terre vue du ciel, qui provoque en nous de nouvelles émotions.

 

 

 

 

 

 

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Quand un animal te regarde : Quand il arrive qu'un animal me regarde, je me trouble parce que je ne sais pas du tout ce qui se passe dans sa tête. Et même, au fond, j'en viens à me demander  comment il est possible que tant de bêtes existent sur la terre, dans l'air et dans l'eau: les unes si proches, les autres si différentes des hommes. Seuls les peintres, peut-être, ont su transmettre ce mystère. Une autre question me tourmente: qui nous a donné le droit de disposer des animaux comme de choses ? Ils éprouvent des émotions, ils ressentent du bien-être et de la douleur, ils n'ignorent pas l'angoisse. Cette sensibilité nous crée des devoirs envers eux, car un être humain digne de ce nom doit veiller sur plus faible que soi

 

 

 

 

 

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Pourquoi on écrit des romans ? : Une romancière dialogue avec deux enfants et leur grand frère. Une conversation familière où se dévoilent les coulisses et les enjeux de la fiction. Qu'est-ce  qui se joue de l'invention et de la mémoire dans l'écriture, dans la vie propre des personnages ? En quoi consiste le travail de l'écrivain ? Que garde-t-il en lui de l'enfance... ? Pourquoi écrit-on des romans ? Pour mieux comprendre ce qui se passe dans la vie. Les histoires inventées aident à y voir plus clair dans les histoires vraies. Pourquoi lit-on des romans ? Quelle est cette puissance qui donne au lecteur la liberté absolue de transformer les mots en images et en sentiments ? N'est-ce pas ce qui permet, en fin de compte, de résister à tout ce qui nous rend moins humains... ?

 

 

 

 

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Gagner sa vie est-ce la perdre ? : GAGNER SA VIE EST-CE LA PERDRE?. La question du travail ne se pose pas comme une question quelconque. Elle surgit d'abord comme la préoccupation des adultes : le  travail est un passage obligé pour que l'on puisse s'assumer. Savons-nous pourtant ce qu'il implique réellement? Plutôt que de le penser par rapport au seul argent gagné, il faut le considérer comme un ensemble de gestes répétés, de représentations qui forment un monde commun. Le travail crée les moyens d'une vie décente. Mais il peut être perdu à tout moment et de son absence compromet le sens d'une existence en lui ôtant les moyens de son développement social et personnel. Dans le travail cohabitent misère et grandeur : il y va de ce que les autres peuvent faire de nous mais aussi de ce que nous parvenons à faire de nous-mêmes

 

 

 

 

 

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Pourquoi la mort ? : Pourquoi faut-il mourir? De toutes les questions que posent les enfants, c'est sans doute celle qui nous met le plus mal à l'aise. Elle éveille en nous la peur et  l'angoisse : pourtant la seule expérience que nous avons de la mort, c'est celle de la mort des autres et en particulier des êtres qui nous sont chers. Peut-on s'habituer à l'idée qu'on va mourir? La philosophie est-elle une méditation sur la mort ou sur la vie? Comment, afin de surmonter la peur de ma mort, y penser autrement ? La vie est comme une histoire : elle a un début et une fin. Et il faut sans doute accepter de mourir un jour afin de pouvoir vivre

 

 

 

 

 

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Le mélange des sexe : Le mot de mixité désigne, à l'origine, l'instruction et l'éducation dispensées en commun aux garçons et aux filles. Revenons sur cette évidence de la mixité  scolaire ; regardons ce mélange des deux sexes pendant l'enfance et l'adolescence il est fait de clarté et d'obscurité. Est-il à l'image d'une vie future, miroir de la réalité sociale, ou est-ce un privilège du temps et de l'espace de l'enfance ? Qu'est-ce que la mixité : un progrès, une expérience, une valeur républicaine, un plaisir ? En tous les cas, le mot a fait fortune, pour désigner d'autres mélanges, mixité sociale, mixité urbaine...

 

 

 

 

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Le football : que nous apprend-t-il de notre vie sociale ? = Le football, d'où ça vient ? En quoi ça consiste ? À quoi ça sert ? Telles sont les questions abordées dans ce dialogue entre un grand footballeur et un petit  garçon. Un match de football est l'illustration des rapports sociaux que les hommes entretiennent les uns avec les autres. Il met en scène tous les éléments de ce qu'on appelle le " tissu social " : l'amour-propre, le sens de l'honneur mais aussi l'intérêt. La rivalité n'exclut pas la solidarité, l'ambition personnelle n'est pas incompatible avec l'entraide. Le match de football condense ainsi, dans cet espace délimité qu'on appelle le " terrain ", ce que le philosophe Kant appelait l'" insociable sociabilité " des rapports humains : tout en ne cessant de s'affronter, les hommes ne peuvent pas se passer les uns des autres.

 

 

 

 

 

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La conversation : Quoi de plus quotidien que nos conversations et quoi de plus ordinaire ? Et pourtant la conversation est d'une richesse infinie : nous parlons ensemble pour dire  nos accords autant que nos désaccords, nous apprenons à nous connaître et à mesurer la distance qui nous sépare les uns des autres. Et le monde dans lequel nous vivons n'est-il pas lui-même une longue conversation déjà commencée dans laquelle nous arrivons pour apporter notre contribution ? Car il y a toujours des enfants qui grandissent et d'autres qui leur succéderont, apportant ainsi de nouvelles questions, comme de petites balles bondissantes que nous rattrapons et qui à la fois nous échappent.

 

 

 

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Que vais au théâtre voir le monde : Le théâtre - le mot signifie " le lieu où l'on regarde " - n'est pas un simple lieu de divertissement. On s'y rend pour ressentir des émotions esthétiques  variées, mais aussi pour mieux comprendre le monde à travers la représentations des actions des êtes humains. L'existence même du théâtre ne cesse, en vérité, de poser des questions à la philosophie. Faut-il y aller ou pas ? Et si on y va, pourquoi ? D'ailleurs, y a-t-il un ou des théâtre(s), très différents les uns des autres ? Des théâtres qui ne font que jouer sur les apparences et d'autres, au contraire, en recherche de ce qu'Aristote désignait comme " le sens de l'humain " ?

 

 

 

 

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Je ne veux pas vieillir : Aujourd'hui, nous vivons de plus en plus longtemps, mais nous acceptons mal les signes de notre vieillissement et de celui de nos proches. La vieillesse est à la  fois un état et une transformation inévitable. Mais à la différence des végétaux ou des animaux qui, comme les humains, croissent et dépérissent, nous avons conscience de devenir autres en vieillissant. Bien sûr, le désir de longévité est intimement lié à la peur de la mort. Pourtant, vouloir conserver la santé et prolonger notre existence, c'est aussi mettre nos connaissances au service de la vie. La vieillesse nous rend-elle nécessairement plus " sages " ? Rien n'est moins sûr... La philosophie nous apprend peut-être que vieillir, se " retirer ", ce n'est pas renoncer aux désirs et aux passions, c'est prendre aussi le temps de faire retour et de réfléchir sur la vie qu'on a vécue et le sens qu'on veut lui donner.

 

 

 

 

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Je danse donc je suis : Tout le monde croit savoir ce qu'est la danse, mais il suffit de se demander ce qu'elle est vraiment pour que cette évidence se transforme en mystère. La danse  est un mode d'expression auquel bien des sociétés prêtent des vertus magiques, une manière de se mouvoir dans l'espace qui donne au spectateur l'envie de participer, la création d'un sujet libre et maître de ses mouvements, et aussi un art... Qu'est-ce que le corps en mouvement ? Quel lien unit le danseur et le spectateur ? Quelle part l'esprit prend-il à la danse ? Cette pratique si riche de sens nous aide à explorer la relation de l'homme avec le monde, l'autre, le corps, le langage, l'espace et le temps. Voici un livre original, qui propose une réflexion philosophique sur la danse, pour y intéresser petits et grands.

 

 

 

 

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Etre responsable = Etre responsable, est-ce bien ou est-ce mal ? Comment le même mot peut-il signifier une chose et son contraire : raisonnable ou bien coupable ? C'est ce qu'un  enfant va découvrir en conversant au fil des ans avec sa grand-mère et son meilleur ami. Il comprend ainsi qu'être responsable, c'est répondre de ses actes, qu'ils soient bons ou mauvais, et qu'être libre, c'est être responsable de ce que l'on est. Car la responsabilité de chacun est entière en ce qu'elle vise l'autre, celui qui est fragile ou dont le sort dépend de nous. À lui désormais de devenir un citoyen informé, engagé, de prendre conscience du rôle actif que chacun doit tenir dans une société démocratique...

 

 

 

 

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De bonnes raisons d’être méchant ? : Méchant ! Les enfants n'ont que ce mot à la bouche mais qu'est ce qu'un " méchant ", ou plutôt qui est méchant et pour quelles raisons ? Question très  compliquée. La haine et le mépris sont les grands ressorts de la méchanceté, mais celle-ci semble impliquer aussi un choix. Le " méchant " n'a pas seulement l'habitude de faire souffrir, de tourmenter, d'humilier : il s'y est habitué, et il " assume ". Mais est-il possible, en toute/conscience, de faire le choix de la méchanceté ? Pour la philosophie, une chose est sûre : il y a d'autres choses à faire dans la vie que d'en vouloir aux gens, y compris quand on a pour cela de bonnes raisons. Sa leçon serait-elle alors : acceptons tout et soyons doux comme des agneaux ? Non. La philosophie ne nous veut pas soumis, elle nous veut résolus. Elle nous aide à comprendre que la douceur - qui n'est pas mollesse, mais attention, fermeté, mesure - peut être la meilleure des défenses, qu'il ne faut avoir de haine pour personne, que nous devons nous soucier du bien commun, et trouver notre horizon

 

 

 

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C’est trop beau = Les enfants ont un rapport direct et sans détour à la beauté. Ils apprécient la diversité de ses formes et de ses expressions sans la rapporter nécessairement  à des règles et à une culture préalables. Avant d'habiter les œuvres d'art, la beauté surgit dans le monde. Elle nous fascine et nous inquiète à la fois. L'art, qui métamorphose la beauté, met l'imagination au pouvoir. Pourquoi réfléchir sur la beauté ? Parce qu'elle nous aide à mieux exister. Mais il reste toujours, par-delà les explications des philosophes et les explorations des artistes, un mystère du beau. Aimer la beauté, c'est se lancer dans une entreprise qui ressemble à une enquête policière : on tente de composer un puzzle impossible avec des pièces manquantes.

 

 

 

 

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C’est pas juste : " C'est pas juste !" Combien de fois, quand nous étions enfants, n'avons-nous pas exprimé notre colère et notre indignation face à l'injustice ? Souvenons-nous  des partages inégaux, des punitions jugées disproportionnées ou injustifiées, des promesses non tenues... Nous éprouvons le sentiment d'injustice avant d'accéder au sens de la justice. C'est ainsi que seront abordées certaines questions essentielles : la juste distribution et la revendication d'égalité, le châtiment des délits et des crimes, la parole et le contrat qui engagent. Et l'on verra qu'il est très difficile de s'accorder sur un critère absolu de la justice.

 

 

 

 

 

 

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A la rechercher de son âme : Parmi les questions qui se posent à l’humain, celle de son monde intérieur est l’une des plus mystérieuses. Vouloir, penser, sentir, imaginer : l’âme est  l’ensemble de ces activités mentales, animées dans un mouvement continu, une façon de tenir ensemble les différents éléments de l’esprit, de les mettre en mouvement. Défaire ce qui nous fait et refaire autrement, c’est le travail de l’âme. Elle ne gît pas en nous, elle s’invente dans ce que l’on crée. Mettre en oeuvre ce que l’on se représente de notre vie, ne pas avoir peur de l’autre ni de soi-même, c’est accueillir tout ce qui vit en nous.

 

 

 

 

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Qu’est-ce qu’un homme ? dialogue de Léo, chien sagace, et de son philosophe : Un philosophe solitaire fait la rencontre pour le moins inattendue de Léo, un grand chien roux... qui parle. Après bien des réticences, le dialogue s'engage  entre l'homme et la bête. Le philosophe est convaincu de la supériorité de l'homme, seul être capable de parler, de raisonner, de travailler et de vivre en société. Face à l'érudit entouré de ses livres, Léo saura-t-il faire entendre sa voix de chien errant, libre et heureux ? Pas à pas, au fil du dialogue, le chien nous montrera que la philosophie n'est pas une affaire réservée aux spécialistes ni même aux adultes.


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