20 mai 2013
La tour de Babel
Quinzaine des libraires Sorcières oblige, on ne vous parlera aujourd'hui que d'ARCHITECTURE :
La Tour de Babel : Didier Jeunesse
Une tour qui monte, symbole de la folie des hommes, défi vers Dieu et vers la punition divine qui les divisera à jamais... clic !
Les auteurs invitent petits et grands à la lecture de ce texte fondateur, issu de la genèse, sur l’origine de la multiplicité des langues. Une histoire extraordinaire dans un magnifique format rectangulaire, sublimant sur des tons verts, ocre, la construction de cette tour qui atteindrait les cieux par sa hauteur, et permettrait ainsi aux hommes d’accéder directement au Paradis… Citrouille n°64
© : Illustrations : merci et avec l'aimable autorisation des éditions Didier Jeunesse.
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La tour de Babel
Francine Vidal, Elodie Nouhen
Editions Didier Jeunesse, 16 mai 2007, 14,2 €
Ce récit fondateur revisité par Francine Vidal, nous donne à (re)découvrir les origines de la multiplicité des langues qui peuplent aujourd’hui le monde ! Une histoire passionnante sublimée par les illustrations d’Elodie Nouhen. On raconte qu’au tout début du monde, les hommes n’avaient qu’un seul et unique langage. Le cours des choses changea sous le règne de Nemrod, roi de Babel si puissant et despotique qu’il se faisait appeler le roi Dieu. Conformément à son rang, il se fit construire le trône le plus haut qui soit. Insatisfait, il proposa alors à son peuple de bâtir une tour dont le sommet dépasserait le ciel, objet de sa convoitise. Hommes, femmes et enfants se lancèrent ensemble dans cette vaste entreprise et petit à petit, la tour s’éleva ; on dit qu’il fallait un an pour descendre chercher une nouvelle brique ! Son incroyable hauteur devint alors source de quiproquos entre les travailleurs « du haut » et ceux « du bas », qui ne se comprenaient plus. Dieu chargea alors ses anges de descendre sur terre afin de confondre leur langage. De nombreuses langues virent alors le jour, dont le vacarme fit vaciller la Tour de Babel, qui s’effondra ! Les hommes sortis des décombres se dispersèrent aussitôt aux quatre coins du monde, emportant avec eux leurs langages respectifs, qu’ils répandirent sur leur chemin… Didier Jeunesse
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