Ils feront 2015 : Rue de Sèvres

Les éditions Rue de Sèvres nous proposent pour bien commencer l'année plusieurs titres dans des genres bien différents. 

 

Il y a d'abord pour les petits le retour des T'chouk :  Tonique, drôle et attachant, l’univers des Tchouks s’étoffe avec deux nouvelles aventures pleines d’humour, racontées par Benjamin Richard et mises en images par Kerascoët.

La série :

Les Tchouks reviennent ! Lancées au printemps 2014 avec deux premiers albums sortis simultanément, On a fait une cabane ! et On a vu la mer !, les aventures de cette attachante petite bande de copains reprennent du service avec les tomes 3 et 4 de la série, On a attaqué un château ! et On a fait un tour de manège !, également publiés ensemble. Conformément à l’esprit de la série, l’humour et l’envie de s’amuser donnent d’emblée le ton de chaque titre : l’aptitude à s’enthousiasmer pour n’importe quelle situation et le plaisir à jouer ensemble sont au centre de l’univers des Tchouks, ces petits personnages vibrionnants qui ressemblent tant à nos propres enfants…

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Il y a Thomas Lavachery et son Bjorn avec les trois premiers tomes : Héros bien installé de l’édition jeunesse, Bjorn le Morphir connaît une nouvelle vie en bande dessinée, avec une édition revue de ses trois premières aventures, prolongées par une nouveauté en mars.

 

 

 

 

 

 

Dans la dernière partie de janvier c'est avec un Western étonnant que nous embarque Tiburce Oger : Brillant interprète de la fantasy en bande dessinée, Tiburce Oger revient avec Buffalo Runner à ses premières amours : le western.

Il signe avec énergie, tout en contrastes et angles vifs, une tranche d’histoire américaine d’une sombre beauté.

 

 

 

Ou alors c'est en pleine prohibition que vous pourrez retrouver les Etats-Unis :  HILL * MATZ * JEF : BALLES PERDUES 

En pleine Prohibition, un tueur est envoyé à Los Angeles pour y régler dans le sang les comptes de la pègre. Une histoire de gangsters haletante, avec tous les codes du genre, sur un scénario imparable du grand Walter Hill, maître du cinéma d’action.

 

 

Et enfin retrouvez le Japon du début du XXème siècle avec  Jiro Taniguchi  et Elle s'appelait Tomoji. À travers un portrait de femme d’une émouvante simplicité, Jirô Taniguchi évoque un Japon rural qu’il n’avait encore jamais traité, à l’orée du XXe siècle. Aussi sobre qu’intense, le maître mangaka au meilleur de son art.