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29 janvier 2015

"Les Justes" une collection essentielle des éditions Oskar

Oskar, collection « Les Justes » : L’histoire de ceux qui ont reçu le titre de "Juste parmi les Nations" parce qu’ils ont, au péril de leur vie, protégé et sauvé des Juifs menacés d’extermination pendant la Seconde Guerre mondiale

 

Une collection essentielle, très bien faite à mettre entre les mains des adolescents grands collégiens et surtout lycéens : pour ne pas oublier ! On aime beaucoup ! 

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Le Chambon-sur-Lignon - Le silence de la Montagne : Pendant cinq années, les habitants du Chambon-sur-Lignon et ses alentours cachèrent des Juifs au nez et à la barbe des nazis et de la police de Vichy. Fouilles, interrogatoires, menaces n’y firent rien : sous l’égide du pasteur Trocmé, les Chambonnais, qui pensaient seulement accomplir leur devoir d’humains ne plièrent pas. Grâce à eux, de nombreuses vies furent sauvées, et pas un fugitif ne fut dénoncé. Le Chambon-sur-Lignon est, avec le village néerlandais de Nieuwlande, l'une des deux collectivités à avoir reçu de l’Institut Yad Vashem le titre de Juste parmi les Nations.  Oskar, collection « Les Justes ».

 

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Irena Sendlerowa - Des papiers pour mémoire Pendant la Seconde Guerre mondiale, sous le pseudonyme de Jolanta, Irena Sendlerowa organisa la fuite de centaines d’enfants juifs du ghetto de Varsovie. Non seulement elle leur a sauvé la vie, mais elle a noté à chaque fois leur identité et leur famille d’accueil, empêchant que l’oeuvre de mort des nazis s’étende à la mémoire. Arrêtée par la Gestapo en 1943, torturée, Irena n’a pas parlé. Oskar, collection « Les Justes ».

 

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Émilie et Oskar Schindler - Double jeu contre les nazis : C’est le rôle conjoint des deux époux Schindler dans la lutte contre la barbarie nazie que Marie-Florence Ehret nous fait revivre. D’un côté, Oskar, personnage ambigu, industriel nazi profitant des travailleurs-esclaves juifs fournis par les camps de concentration, et qui petit à petit entreprend de tromper les bourreaux et de sauver ses ouvriers de la mort. De l’autre, Emilie, qui prend en charge, au risque de sa vie une bonne partie de l’organisation clandestine et de l’intendance du camp de Brünnlitz, assurant ainsi le sauvetage des "Juifs de la liste Schindler". Oskar, collection « Les Justes ».

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Roger Belbéoch, flic et résistant : Roger Belbéoch a 20 ans en 1940. Fils de résistant, il commence par distribuer des tracts pour alerter l’opinion française contre le gouvernement de Vichy et la collaboration avec les nazis. Convoqué à la Kommandantur dans le cadre du STO, il songe à la clandestinité, mais il accepte finalement de s’engager dans la police. Il contribuera par son action à sauver des centaines de Juifs et de clandestins auxquels il permettra de fuir en les prévenant et en les aidant à trouver de faux papiers. Il sera arrêté et torturé, mais ne parlera pas. Relâché, il pourra continuer son action jusqu’à la fin de la guerre. Il a été nommé « Juste parmi les Nations » en 1985. Oskar, collection « Les Justes ».

 

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Varian Fry, sauver la culture : Varian Fry, journaliste américain, était venu à Marseille en août 1940, porteur d’une liste de deux cents intellectuels, menacés par la Gestapo, qu’il devait aider à fuir hors de France. Fry étendit sa mission, cherchant à sauver le plus de personnes possible. Aidé par toute une équipe, il fit fabriquer des faux papiers en masse et organisa des filières d’évasion. Son activité a favorisé le départ d’environ 1 200 personnes, Juifs ou non Juifs. Il fût finalement expulsé par la police de Pétain, en accord avec le gouvernement américain. Parmi les dizaines d’intellectuels et d’artistes que Fry a aidé à fuir, on peut signaler Marc Chagall, Max Ernst, André Breton et bien d’autres. Oskar, collection « Les Justes ».

 

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Gino Bartali, un champion sauveur d’étoiles : De 1943 à 1944, pendant l’occupation allemande en Italie, Gino Bartali faisait partie d’un réseau de sauvetage abrité par le Vatican. Ce fervent catholique a ainsi contribué à sauver 800 Juifs. Profitant de ses entraînements, il a agi au nez et à la barbe des patrouilles nazies, « simplement » en pédalant. Il servait de messager au réseau, en dissimulant des documents falsifiés dans le cadre et sous la selle de son vélo et en les transportant de permettre à des juifs italiens de passer clandestinement la frontière. Alors qu’il possède un palmarès à faire pâlir bien des sportifs, Gino Bartali n’a jamais parlé de ses activités clandestines et n’a demandé ni la gloire, ni les honneurs car ses victoires contre la barbarie sont sans doute les plus belles.  Oskar, collection « Les Justes ».

 

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Les fées de Dieulefit - Marguerite Soubeyran, Catherine Krafft, Simone Monnier : Lorsque Marguerite Soubeyran et Catherine Krafft créent l’école de Beauvallon, à Dieulefit dans la Drôme, pour venir en aide aux enfants en difficulté, elles n’imaginent pas que, dix ans plus tard, sous l’Occupation, l’école deviendra le refuge des persécutés. De 1940 à 1944, ce sont 1 500 enfants juifs que l’école va protéger. Marguerite Soubeyran en tête, toute une population se ligue pour que vivent Sarah, Cornelia et les autres. Dieulefit est devenu le village des Justes.  Oskar, collection « Les Justes ».

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