08 mars 2018
Nouveautés semaine du 7 mars 2018 : l'école des loisirs
SÉRAPHINE : Que faire de sa vie quand on a treize ans et qu'on est une fille pauvre, pas laide, sachant lire, sans autre protection que celle d'un vieux curé, d'une tante prostituée et d'une veuve ronchon ? Nonne ? Jamais. Séraphine est trop insolente. Couturière ? Non plus. Elle a trop envie de parler et de voir du monde. Peut-être qu'un jour les femmes pourront devenir juges, gendarmes ou avocats et faire de la politique... Peut-être même qu'un jour Dieu Lui-même sera une femme. Mais, pour l'instant, nous sommes en 1885, à Paris, ou plutôt à Montmartre. Le souvenir de la Commune est encore vif chez les uns. Les autres s'occupent de l'enterrer définitivement en bâtissant, là-haut sur la butte, le Sacré-Coeur. Et Séraphine ne voit qu'une solution pour mener la vie libre et sans misère dont elle rêve : s'en remettre à sainte Rita, la patronne des causes désespérées... L’école des loisirs
SATIN GRENADINE : Lucie est persuadée qu'au xxe siècle, les demoiselles de la bonne bourgeoisie parisienne auront le droit de courir toutes nues, d'aller à la messe en cheveux, de parler à table et même, qui sait ? de s'instruire et de ne pas se marier. À quoi bon vieillir, sinon ? Le problème, c'est que nous ne sommes qu'en 1885 et qu'à treize ans, la seule éducation qu'une jeune fille comme Lucie est censée recevoir consiste à savoir tenir une maison pour devenir une pouse accomplie. Hygiène, lessive, cuisine : Lucie est envoyée faire son apprentissage avec Annette, Fanny et Marceline. Si ses parents savaient... Il se passe parfois des choses étranges, dans les communs des maisons bourgeoises. Les domestiques peuvent s'y révèler plus passionnants et subversifs que des livres. On y fait des révolutions en secret. On y organise des expéditions aux Halles au petit matin, ce Ventre de Paris peint par Monsieur Zola d'où sortiront bientôt tant d'idées neuves, socialisme, anarchisme, féminisme... L’école des loisirs
MONDE SAUVAGE (UN) : Quelques empreintes de pattes dans la neige, une carcasse de daim abandonnée un peu plus loin… et Felitsa avait compris en un éclair à qui elle avait affaire. C’était bel et bien une tigresse que sa mère et elle venaient de repérer. Et à y regarder de plus près, une tigresse qui attendait des petits. En dépit de la fatigue et de la température glaciale, Felitsa ne regrettait plus d’avoir accompagné sa mère dans sa tournée d’inspection. Alissa était garde forestière au bout du bout de la taïga russe, une zone de trafic intense avec la Chine voisine et un beau terrain de chasse pour les braconniers. De l’autre côté de la frontière, la dépouille d’un tigre de Sibérie valait des dizaines de milliers de dollars. Si Felitsa et sa mère avaient repéré la tigresse, les braconniers n’allaient pas tarder à faire de même. Il fallait trouver le moyen de sauver sa peau… L’école des loisirs
PETITS ORAGES (LES) (GRAND FORMAT) : Depuis un an, la vie de Moses Laufer Victor a changé. Il y a les signes extérieurs, la jambe blessée, les boutons qui explosent sur son visage comme des volcans, et la rage incontrôlée qui s’exprime comme elle peut.
Il y a les choses qui restent en lui, les souvenirs de l’accident, les mots qu’il n’arrive plus à dire avec ses parents, qui sont comme des orages en dedans.
Et puis, il y a tout ce que l’on ne connaît pas encore. Un jour, au lycée, arrive Ratso, un Indien. Il a ses secrets lui aussi, il a sa colère. Mais il a surtout besoin que Moses l’accompagne à Pine Ridge, pour rendre visite à sa soeur. Parce que chacun, à sa façon, doit sortir de sa réserve. L’école des loisirs
CLAUDE ET MORINO : Comment ils se sont rencontrés ? C'est simple. En pleine nuit, comme d'habitude, Morino est allé faire pipi par la trappe spéciale de sa caravane. Mais cette fois, le pipi de tisane est tombé sur un petit squelette enterré dessous et l'a réveillé. Il s'appelle Claude, il est d'une agréable couleur verte, il est curieux de tous les détails de la vie sur terre qu'il a oubliés, et il se prend d'affection pour Morino qui finit par le trouver un peu collant. Pourtant, plus il cherche à s'en débarrasser, plus Claude lui devient indispensable.L’école des loisirs
ORAGE (L') : "Ce matin, pas de gym dehors, nous allons faire de la danse ! " dit la maîtresse. Piou Piou veut montrer à tout le monde ce qu'elle sait déjà faire, avec son tutu et sur la pointe des pieds. " C'est nul, c'est pas comme ça qu'on danse " répliquent les autres. Pour Jules, danser c'est bouger les fesses. Pour Clotilde, c'est bouger les bras et puis les pieds. L'excitation monte et dehors l'orage gronde. L’école des loisirs
PETIT - UN CAHIER DE POÉSIE : Un tapir, une fourmi, un éléphant une île, un nuage, un restaurant, un pamplemousse, des nénuphars, des choses petites et grandes, un oui, un non et même une île et l’horizon. C’est (presque) tout ce que l’on trouve dans ce cahier de poésie. L’école des loisirs
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