12 avril 2018
Nouveautés semaine du 11 avril 2018 : l'école des loisirs
BROADWAY LIMITED (GRAND FORMAT) - UN DÎNER AVEC CARY GRANT : Jocelyn Brouillard, 16 ans et demi, boursier, français, débarque un soir d'automne de 1948 à la pension Giboulée. C'est une erreur, un parfait malentendu. Il est à New-York et on l'a pris pour une demoiselle à cause de son prénom. Car la Pension Giboulée est une de ces boarding houses exclusivement réservées aux jeunes filles qui veulent demeurer à l'abri des loups de Wall street et de la 42ème Rue. La gente masculine y est résolument interdite. Heureusement, Jocelyn joue très bien du piano... Venues de tous les coins d'Amérique, ces jeunes filles rêvent de conquérir la grande ville, de voir leurs noms en haut des théâtres de Broadway. A Giboulée, elles sont au nombre de 6. Il y a Chic qui fait des publicités pour du shampooing aux œufs très rose, ou pour des soupes Campbell's avec de la tomate très rouge qu'elle déteste, et qui se fait offrir des chausse-pieds par ses nombreux soupirants...
Il y a la baroque Ursula, qui chante à la radio, Etchika qui conduit une voiture au prénom de femme fatale... Et comme si ce n'était pas assez, dans la maison juste à côté habite Dido, une collégienne qui a des problèmes avec le FBI.
Et que diraient leurs logeuses, la respectable Mrs Merle et son dragon de soeur, si elles apprenaient que, derrière ses lunettes de fille sérieuse, l'énigmatique Manhattan donne de mystérieux rendez-vous à des messieurs dans les bars à Greenwich Village, ou que Page aux charmantes tresses blondes est amoureuse de celui qu'il ne faut pas ?
Enfin, il y a Hadley, qui vend des doughnuts le jour et des allumettes le soir, et qui est peut-être la plus insaisissable de toutes. Hadley est la fille chanceuse qui a un jour dansé avec Fred Astaire...
Oui, l'immense Fred Astaire ! Mais alors pourquoi a-t-elle subitement arrêté la danse ?
Ce diptyque doit son titre au Broadway Limited, le train fabuleux et mythique qui reliait Chicago à Pennsylvania Station au centre de New York... Car ce roman prend aussi le train.
BROADWAY LIMITED conte la découverte, par un jeune Français, de l'american way of life dans le New-York de l'immédiat après-guerre, sa vitalité, son énergie, le jazz, le swing, Broadway, la pizza, la radio, ses tempêtes de neige renversantes, le base ball...
Mais aussi ses phobies, le début de la guerre froide, la chasse aux sorcières, la ségrégation... L’école des loisirs
TUT-TUT ! : Que font ces trois petits cochons bien à l'abri du loup et des autres dangers à l'intérieur d'un beau bus rouge ? Tut tut ! Ils s'amusent à doubler tout le monde, moto, taxi, camion... car leur bus est non seulement magnifique mais très rapide. Et une fois qu'ils ont doublé tout le monde ? Criiiiiiii ! Ils s'arrêtent. Car leur bus est très rapide mais quand il est arrivé à destination, il utilise ses freins puissants.
Oui, les voilà chez eux où les attend leur maman. Au revoir le bus ! On se retrouve demain ? L’école des loisirs
MES AMIS DE LA MER : Aujourd'hui, c'est la fête ! Pour mon anniversaire j'ai invité la crevette amoureuse, l'étoile de mer timide, l'anémone décoiffée et le poisson qui fait des bulles carrées. C'est bon ? Tout le monde est là ? On peut commencer ? L’école des loisirs
JE NE JOUE PLUS ! : Une semaine tranquille avec des voisins sans histoires, c'est tout ce qu'Antoine espérait pour bien terminer les vacances. C'est raté ! Entre Lulie qui se casse le bras, madame Ferplon qui vocifère pour chasser les esprits, Jules qui a soudainement peur des fourchettes, sa tante féroce à qui il manque un doigt...La rue d'Antoine est comme possédée, ses habitants semblent ensorcelés. Par qui ? Par Quoi ? C'est à lui de le découvrir. L’école des loisirs
HORTENSIA : Le chien aboyait. Tout le temps, il aboyait. " Hirondelle, détache-moi ! " demanda-t-il, en tirant, tirant, tirant sur sa chaîne. " Si tu m'aides, je t'apprendrai à aboyer ". " Aboyer ? A quoi cela pourrait-il me servir ? Non merci bien ", répondit l'oiseau en s'envolant. Et ni le chat, ni la souris, ni le mouton ne comprirent ce que voulait le chien. L'âne, enfin, s'approcha plus près de lui... L’école des loisirs
BUTTER : Je ne peux pas passer une année de plus dans ce costume de graisse, mais je peux terminer cette année dans une apothéose. "Il a tout essayé, rien n'y fait : Butter est malade de son poids. Et sa vie est devenu un enfer, avec les autres et avec lui-même. Alors, pour en sortir, il lance un défi désespéré sur Internet : le 31 décembre, en direct, il mangera, mangera, mangera, jusqu'à ce que tout soit terminé. Et vous, que ferez-vous ce soir-là ? L’école des loisirs
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