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06 mai 2018

Nouveautés semaine du 2 mai 2018 : Sarbacane

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Nous sommes Spartacus : L’équipe du magasin Sportacus, menée par Rodolph, le responsable du rayon randonnée, est en week-end de cohésion.Tous profitent du bon air de la montagne, quand une énorme explosion fait naître un champignon nucléaire à l’horizon. Les voilà en situation de survie, coupés de tout. Sans réseau et sans vivres, la situation vire rapidement au cauchemar surréaliste et violent.« Nous sommes Sportacus ! » s’écrie le chef d’équipe de plus en plus tyrannique pour motiver ses troupes.« Nous sommes Sportacus », répond l’équipe dans un écho de plus en plus anxieux. Sarbacane

 

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Paisible : Qui n’a rêvé d’avoir un peu la paix, quand tout le monde s’agite autour de soi ? Sans cesse sollicitée, au cœur d’une famille ultra vivante mais tout aussi bruyante, Ester décide de prendre la poudre d’escampette : et hop, la voilà qui grimpe dans l’arbre dont les branches taquinent sa fenêtre. Elle va s’y construire son monde bien à elle, s’y trouver des amis à plumes ou à fourrure rassurants – avant de pouvoir revenir dans sa chambre, grandie et apaisée.Sarbacane

 

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La sauvageonne : « Les vapeurs d’essence, ça ronge les cerveaux. Regardez mes parents : trente ans qu’ils moisissent dans leur station-essence. De mon côté, c’est pas beaucoup mieux. J’aime trop la baston pour une fille, à ce qu’il paraît – surtout une fille qui s’appelle Fleur. Il n’y a bien que mon frère Killian pour relever le niveau. Il a un truc, lui. La musique. Sauf que c’est pas en restant ici qu’il deviendra violoniste. Alors forcément, quand un type vient nous agoniser à la station avec une mallette pleine d’argent, difficile de résister à l’envie de fuguer pour Paris… » Sarbacane

 

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Le grand poulpe : Ce grand poulpe-là a une sacrée personnalité. Ou plutôt, il en a huit, autant que de tentacules. Le premier, amoureux d’une femme-homard aux longs cheveux noirs flottant dans l’onde, a le coeur tendre. Le deuxième, le plus gourmand, est le pourvoyeur de nourriture, le troisième et le quatrième sont les bâtisseurs, le sixième, l’artiste collectionneur, etc. Mais le huitième, lui, semble ne servir à rien… Qui est-il ? D’ailleurs, quand une terrible murène dévore ce tentacule inutile, le grand pouple se dit que c’est peu de chose. Et pourtant… il se sent bancal. Le dernier bras repoussera. Tout de travers, certes, mais rétablissant l’équilibre. Et le grand poulpe saura : ce bras-là est le plus tenace, le résilient, celui qui montre qu’on peut réparer les malheurs. Sarbacane

 

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Minus contre Minos : Le surnom de Thésée, c’est « Minus ». Pas idéal pour séduire la fille dont il est amoureux, une certaine Ariane…Mais ça, encore, ce n’est pas tragique. Ce qui est plus embêtant, c’est que sans le vouloir, Thésée a énervé le terrible gangster Minos et sa bande de motards. Et voilà comment on se retrouve dans les sous-sols de Paris, traqué par un étrange monstre à tête de taureau ! Sarbacane

 

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Maman robot : Bien pratique d’avoir une maman-robot : toujours disponible, c’est elle qui fait tout à la maison. Elle nettoie, elle range, elle remplit le frigo, elle cuisine… Mais attention, elle fait aussi maman-taxi, maman-infirmière – et dispose même d’un programme « service de nuit » pour les petits accidents, type pipi au lit.

Mais le programme que ses enfants préfèrent, c’est maman-câlin. Or, depuis quelque temps, cette maman-robot semble déréglée : elle fait de grands discours devant sa glace, elle dit qu’elle veut avoir du temps pour elle et un beau jour, elle se met carrément en grève ! Pour le papa et les deux enfants de l’histoire, c’est le début d’une expérience très très très enrichissante… Sarbacane

 

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Monstre Glouton : Brrr, je te fais mes yeux ronds : ronds qui roulent ! Grrr, je te montre mes dents : dents qui croquent ! Scritch, je sors mes griffes : griffes qui piquent !

Et hop, je t’emporte dans la forêt : forêt noire… Et ce n’est pas fini : je te tâte le ventre, je te tâte les joues… Oh, les bonnes joues ! Car je vais te dévorer tout rond ! Quoi ? Tu n’as pas peur du vilain monstre glouton ? Bien sûr que non ! Car tu sais bien que c’est moi, ton gros papa ours à toi ! Sarbacane

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