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09 juin 2018

Nouveautés semaine du 6 juin 2018 : l'école des loisirs

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Le plein de Blorg : Ninon est en vacances chez ses grands-parents quand, un jour, un vaisseau spatial atterrit devant la ferme : les Plutoniens cherchent du Blorg. Le problème, c'est que personne ne sait ce que c'est. L'autre problème, c'est qu'ils sont venus détruire la planète. Il reste une heure avant la fin du monde L’école des loisirs

 

 

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Amour, gloire et ballet : Quand Platoule, la directrice de l'école de danse de l'opéra de Paris où je suis élève, nous a annoncés qu'elle avait accepté l'invitation de Monsieur Troudair, le chorégraphe de la gigoto, j'ai su que je n'oublierais jamais que l'Amérique était un continent, avec le Canada tout au Nord. Nous allons passer quatre semaines à Montréal, vingt-huit dodos et cent vingt heures de cours. Non seulement, nous suivrons des leçons de danse mais aussi des cours de français et de maths. Jusqu'ici, tout va bien... ça ressemble à notre vie à l'internat. Sauf que Troudair tient aussi à nous faire découvrir tout un tas de nouveaux exercices : gigotomanie, éveil du corps, yoga... Je me suis juré de ne pas participer aux cours de gigoto, je prétexterai que mes orteils font grève. Dans la vie, il faut suivre ses principes.L’école des loisirs

 

 

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Im@mie : À seize ans, Sam est un junkie, un accro, un drogué d’Internet et des jeux vidéo. Pour le sevrer de l’écran et sauver son âme, ses parents ont décidé de l’envoyer à Nice, en pension chez Martha, sa grand-mère, qui coule une retraite paisible, sans ordinateur ni télévision ni portable. Arrivé là-bas, Sam n’a rien d’autre à faire que de lire, réviser son bac de français et jouer du piano tout en se faisant dorloter par sa grand-mère. Comme cure de désintoxication, on a connu pire, et Sam admet qu’il n’est pas vraiment malheureux… Juste terriblement en manque des moyens de communication que des milliers d’années de progrès technique ont mis à la disposition de l’homme moderne. Mais ça, comment le faire comprendre à Martha… L’école des loisirs

 

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L’amour c’est n’importe quoi : Quand elle a fait ce rêve que parmi ses élèves se cachait un grand écrivain, mademoiselle Junon a distribué des carnets à spirale à chacun d’entre eux, pour y noter tout ce qui leur passait par la tête. À défaut d’écrire un roman, Sacha y prend des notes sur les êtres qui l’entourent et les questions qu’il se pose. Il se demande comment savoir que l’on est réellement amoureux. « Si je comprenais bien, l’amour était une guerre, un combat dont le but était de sortir vainqueur à tout prix. J’ai écrit : Être amoureux, est-ce vouloir que l’autre soit aussi malheureux que soi ? D’un autre côté, je voyais bien que papa faisait tout l’inverse. Il passait sa vie à essayer de faire plaisir à maman ! Mais alors… Être amoureux, est-ce vouloir que l’autre soit aussi heureux que soi ? » L’école des loisirs

 

 

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Histoires d’enfants à lire aux animaux : Un lapin qui ronronne et qui miaule comme un chat. Un poisson qui change de couleur : bleu le jour, blanc et lumineux la nuit. Un petit garçon sec comme un bâton et qu’on utilise comme une branche : pour faire l’arbre sur l’estrade ou pour frapper les élèves indisciplinés. Une fourmi de compagnie égarée rue Mouffetard. Un serpent minuscule qui vit dans une dent appartenant à un terrible bandit condamné à mort. Une petite fille chlorophylle, tellement verte qu’on la prend pour un ange des bois. Ces histoires, graves ou légères, grinçantes ou réconfortantes, nous entraînent dans un monde de poésie où le bonheur est finalement fait de toutes petites choses. L’école des loisirs

 

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Ma vie en 17 pieds : Quand la mono du centre aéré a demandé ce qu’on avait comme Passion pour animer son propre Atelier Création et Découverte d’Activités Ludiques, Sportives et Artistiques, Gaspard a répondu « Haïku ». Ça commençait très mal. Les haïkus, les autres ne savaient même pas ce que c’était et une grosse brute l’a surnommé « Aïe-mon-Kiki » et traité de tapette. Tant mieux, après tout. Parce que en vérité, cette Passion, Gaspard ne souhaite la partager avec personne. Il souhaite rester seul avec elle.

Avec elle et son chagrin. Avec elle et Léo. Personne ne le fera changer d’avis.

Même pas cette fille en survêtement violet qui propose "Charlotte au chocolat". L’école des loisirs

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