Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Page d'accueil

12 octobre 2023

L’imagier géant du Père Castor : les insectes

Les imagiers géants sont de retour et on est toujours absolument gaga ! Excellent comme à l'habitude
❤️❤️❤️❤️❤️

 

81Tq9cFwHNL._SL1500_.jpg

 

On connait bien les imagiers géants du Père Castor, albums géants cartonnés souples qui offrent une superbe qualité de photographie et des moments inédits de découverte. Cette année,  Adeline Ruel  nous propose de découvrir et de jouer avec les insectes : certains mal aimés à tort ou à raison et d’autres portées aux nues. Toujours est-il que ces petites bestioles sont bien utiles dans la plupart des cas et signes de vitalité de la bio diversité. 

La première double page nous embarque chez les hyménoptères : abeilles de différentes familles, frelon, guêpes ou  fourmis. Saviez vous qu’il existé une abeille orchidée, une guêpe sociale ou une fourmi acrobate ? 

Dans la famille des odonates on demandera la libellule écarlate et le caloptéryx éclatant. Puis chez les diptères pourquoi se contenter des mouches quand on peu découvrir la tipule des prairies ou l’hélophile suspendu, dans un coin il y a même cette saleté de moustique commun (l’entendez vous zézayer dans votre oreilles et vous rendre fou ? ). 

Dans les deux doubles pages suivantes on fait la connaissance des coléoptères : on trouve la chrysocale fastueuse, le ténébrion des bouleaux, le clairon des abeilles, dame coccinelle, la cassie, le crache-sang : leurs noms sont aussi beaux qu’ils le sont en vrai. Tous aussi magnifiques les uns que les autres. Le scarabée royale Goliath est juste sublime, le hanneton des pins prêt à vrombir et la Rosalie des Alpes tout de bleu tachetée de noir déploie ses antennes. 

Viennent juste après  les hémisphères (on ne crie pas il y a des punaises) ; les orthopètres avec au centre de la page la magicienne dentelée : ououaous ! On passe  ensuite aux phasmoptères et à leurs formes géniales : aux mantoptères tout aussi étonnantes : admirez la mante fleur du diable ou la mante orchidée. Et on termine avec nos amis de la famille des lépidoptères : des papillons qui déploient leurs ailes merveilleuses avec sous chaque espère, les  chenilles,  histoire de rappeler leurs origines. 

Un album étonnant, superbement dessinée, où l’on ouvre de grand yeux, où l’on découvre des espèces fabuleuses, des formes, des couleurs : aussi bien et beau que ses grands frères et soeurs des années précédentes. Un cadeau magnifique, ludique qui rend plus intelligent.  Adeline Ruel  régale de nouveaux petits et grands et c’est vraiment bien : on adore ! 

 

Jean-Luc 

 

81Tq9cFwHNL._SL1500_.jpg

 

L’imagier géant du Père Castor : les insectes  

Adeline Ruel

Editions Père Castor Flammarion jeunesse, dès 18 mois, 11 octobre 2023, 19,90 €

 

d'un clic sur les visuels retrouvez les précédents

 

couleur.jpeg

 

bébés.jpeg

 

maternelle.jpeg

Les commentaires sont fermés.