Histoires du chien qui avait une ombre d'enfant

Tout a commencé avec les Histoire d’enfants à lire aux animaux, il y eut ensuite les Histoires du loup qui habite dans ma chambre avec les Histoires de la maison qui voulait déménager. Hervé Walbecq  est de retour avec  les Histoires du chien qui avait une ombre d’enfant. Clic de bonheur ! 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Dix sept histoires pour de nouveau nous embarquer : Son nez s’appelle Jean-Claude et a décidé de partir seul en vacances dans les Pyrénées ; Après un long sommeil, un jardin a poussé sur la tête d’un homme et fleurs et plantes y ont pris racines ; En fonction de ce dont il parle cet homme émet des postillons multicolores qui peuvent aussi prendre la forme de ce qu’il raconte à condition qu’il l’aime vraiment ; Les pêcheurs de larmes sont très difficiles à voir mais sachez qu’il est nécessaire de pleure ; Savez vous que les oreilles peuvent se reproduire ? L’occasion de les donner à ceux qui n’entendent plus ou qui les ont perdues : une très belle histoire ; Attention de ne pas avaler une tempête ou tout pourrait bien changer et prendre l’air ; On vous parlera aussi du plancton de compagnie, des rides vagabondes, du jour du mélange des doigts, de la révolte des ongle, du chien qui avait une ombre d’enfant, du royaume des pellicules, de la petite fille aux mains sales, de la dispute des cheveux ou du petit garçon qui faisait de la lumière avec ses yeux et enfin d’un troupeau de genoux.

Toutes ces histoires fantastiques portées comme à l’habitude par des illustrations toutes en finesse et en lignes pures et folles, nous parlent de vie, de transmission de voyage, d’ailleurs … Nous disent également l’importance de l’écoute des autres, la cruauté de l’enfance, l’importance du rêve, de la magie.

 Hervé Walbecq  nous transporte de nouveau dans cet univers qui n’appartient qu’à lui et nous fait rêver et réfléchir en souriant. Laissez vous porter, emporter, c’est merveilleux.

 

Jean-Luc