06 janvier 2011
The Agency revient...
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Ishango Tome I
Ishango ; Tome 1 : La nuit des métamorphoses ; Patrick Delperdange ; Editions Nathan, collection Nathanpoche, avril 2010, 6,9 €
" Parti à la recherche de sa soeur disparue dans la jungle africaine, Martin trouve un étrange fétiche.
C'est l'os d'Ishango qui, à la nuit tombée, lui fait subir une extraordinaire métamorphose... Guidé par une magie ancestrale, le garçon se voit alors investi d'une lourde mission : sauver tout un peuple, menacé par les activités secrètes d'une dangereuse firme internationale. Mais Martin doit faire vite : son temps est compté... "
Attention pour les fans, le tome II arrive
Enola Holmes Tome III en poche
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les sorties contes et légendes de Nathan
Trois titres reviennent dès ce 6 janvier : Youpi !
" Treize contes et légendes racontent les plus belles histoires d'amour |
Roméo et Juliette (Italie), La belle et la bête (France), Tristan et Isolde (Légende celte), Adam et Eve (Bresil), Orphée et Eurydice (Grèce)... |
Un prince jaloux et avide, une jeune princesse séduite par un dieu et chassée par les hommes, Romulus et Rémus menacés de mort et recueillis par une louve, |
Stratagèmes, combats sans merci, puissance des dieux et courage des hommes : tout cela se mêle et donne naissance à la ville de Rome et à sa légende passionnante ! 12 contes |
" Sept légendes célèbrent les sept constructions qui ont le plus marqué la civilisation par leur incroyable architecture et leur fascinante beauté. |
Les hommes, de tous temps, ont appelé « merveilles » les choses dignes d'admiration. Au IVe siècle av. JC, dans l'entourage d'Alexandre le Grand naît l'idée d'établir une « liste des merveilles du monde », le « monde » étant en toute modestie l'Empire macédonien. Voici donc sept récits qui vous emportent au temps de la création de ces édifices fabuleux. " |
Nathan poursuit la réédition se sa collection conte et légende avec de nouvelles et très belles couvertures.
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03 janvier 2011
Bonne année 2011
Toute l'équipe des Sandales, des libraires aux lutins, Claire, Amandine, Jérémy, Florence, Jean-Luc, Joseph, Côme, Mathilde, Mathilde, Delphine, Louise, Ingrid, Arthur et tous les autres, les lutins, elfes et êtres fantastiques
vous souhaitent la plus belle des années.
Que santé, bonheur et tout ce que vous pourrez souhaiter soit au rendez-vous et que vous trouviez des lectures pétillantes, intelligentes, passionnantes, pour rire, rêver, pleurer, crier... vivre !
Alors pour 2011 et de tout notre coeur : Merveilleuse année à tous !
Et pour que l'année soit plus belle encore, venez nous voir sur le blog mais surtout venez voir la caverne d'Ali Baba des Sandales...
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Marie-Hélène Delval répond à nos questions...
Marie-Hélène Delval est l'une des figures des éditions Bayard depuis de longues années. Aujourd'hui auteur reconnue de nombreux romans et notamment de la série à succès des Dragons de Nalsara, elle a accepté à quelques jours de son départ en retraite fin décembre de répondre à quelques unes de nos questions (en relisant je me rends compte que j'en ai oublié beaucoup en route). Qu'elle soit sincèrement remerciée pour sa grande disponibilité, sa gentillesse, ses réponses et son talent...
Mais que les fans se rassurent, vous allez le voir, elle n'est pas prête encore
à nous abandonner totalement.
Bonjour Marie-Hélène Delval, vous êtes un auteur connu, reconnu, comment vous présenteriez vous ?
Comme quelqu’un qui a découvert très tôt le pouvoir qu’ont les mots de provoquer l’émotion, et qui a eu envie, un jour, d’ajouter sa petite musique à celle de tant et tant d’auteurs…
Vous êtes un auteur très prolifique… pourquoi écrire ? Depuis quand ?
Pas si prolifique que ça ! Trouver le temps d’écrire quand on a un autre métier, ce n’est pas facile ! Mais, au bout de plus de 30 ans d’écriture, les petits ruisseaux font les grandes rivières… Le désir d’écrire m’est venue de l’émerveillement que me procurait certaines histoires que je lisais à haute voix à mes enfants quand ils étaient petits : comment pouvait-on, avec des mots si simples, créer autant d’émotion, de poésie… ? J’ai eu envie d’essayer à mon tour, et j’ai compris alors que c’était « mon mode d’expression », la part en moi qui pouvait participer même de façon minuscule, à la « création du monde ».
Vous avez beaucoup écrit pour les plus jeunes avec les collections j’aime lire… Vous avez été rédactrice en chef de Pomme d'Api, Les Belles Histoires et Popi de 1986 à 1992, vous êtes actuellement directrice littéraire à Bayard Editions.
Toujours Bayard ? Une histoire d’amour ?
Vous êtes un pilier de la maison, difficile d’imaginer Bayard sans quelque part une petite place pour Marie-Hélène Delval ?
La réponse à la première partie est dans la précédente : d’abord le désir d’écrire pour les très jeunes, pour essayer de « faire du beau » avec du simple !
Bayard, une histoire d’amour et de fidélité, certainement. Ça a commencé dans l’enfance, avec la lecture toujours recommencée d’un recueil de l’année 1911 ( sic ! ) d’un des premiers magazines de Bayard pour la jeunesse, qui s’appelait « l’écho du Noël ». Plus catho, tu meurs ! Mais il y avait des romans tellement bien écrits, tellement haletants ! Plus tard, j’ai acheté pour mon plus jeune frère le premier n° de Pomme d’Api (mars 1966). Puis mes enfants ont été abonnés. Puis j’ai trouvé un jour dans le cahier pour les parents une annonce : Bayard cherchait des « mères de famille » pour faire la promo des revues jeunesse dans les écoles. C’est ainsi que j’ai fait mes premiers pas « dans la maison » ! L’écriture est venue alors, puis l’entrée à la rédaction de Pomme d’Api… et le reste !
À la fin du mois, je pars à la retraite, mais j’ai déjà un gros programme de traduction qui m’attend. Et j’espère avoir un peu plus de temps pour « faire avancer » les Dragons de Nalsara !
Avant les dragons de Nalsara vous aviez déjà fait une incursion dans le monde du fantastique avec les Chats : d’où vous vient cette envie ?
Les différentes facettes du fantastique m’ont toujours intéressée, sans doute parce que c’est le genre métaphysique par excellence. On s’offre un voyage hors du quotidien tout en traitant de « choses graves » : la dualité du bien et du mal (on voit dans le n° 10 Cham tenté par « le côté obscur de la force », si j’ose ainsi m’exprimer !), la relation entre la mort et la vie, le difficile travail de devenir soi… Mais, avant tout, on est dans le plaisir du conte. D’ailleurs, les lecteurs attentifs peuvent repérer dans certaines pages des références à peine déguisées à La Belle et la Bête de Cocteau, mon film fétiche !
Les dragons de Nalsara ? Pourquoi ? D’où est venue l’idée ? Depuis quand ? Savez vous où vous allez ?
L’idée d’écrire ce qui était d’abord dans ma tête un roman unique pour des lecteurs d’âge J’Aime Lire m’est venue en rencontrant des classes de CE1-CE2 qui avaient adoré le film ERAGON. Les enfants avaient envie de lire le livre, mais il n’était pas à leur portée. Après avoir traduit L’Aîné, j’étais à fond dans cet univers de Fantasy ; j’ai voulu tenter de rendre ce genre accessible aux plus jeunes. C’est ainsi que j’ai créé l’île aux Dragons et ses habitants, Cham, Nyne et leur père, le grand éleveur de dragons du royaume. Et c’est sur l’instigation d’Elisabeth Sébaoun, notre directrice éditoriale, que j’ai envisagé ensuite d’en faire une série.
Comme pour tous mes romans, je suis partie complètement à l’aventure ! Je n’ai jamais de plan, juste des grandes lignes. Une fois que les personnages se mettent à exister, j’ai toujours l’impression que ce sont eux qui décident des événements. Il y a une sorte de logique interne à l’histoire qui se met d’elle-même en place, c’est fascinant ! J’ai bien fait rire mon éditrice, Charlotte Mériaux, quand j’ai surgi un matin dans son bureau en clamant : « ça y est ! Je sais ce qui est arrivé à la mère des enfants ! »
Bien sûr, je reviens parfois en arrière pour affiner ou corriger des détails, ajouter des informations devenues nécessaires pour la continuité du scénario. Heureusement que j’ai de l’avance ! J’achève actuellement le 14ème, alors que le 10ème est sorti récemment. Ça me donne une marge de sécurité.
Vous nous avez dit que les prochains tomes seraient plus longs. C’était l’une des questions de départ : pourquoi pas plus long ? Et à quand un roman pour les plus grands ?
Au départ, des épisodes de 50000 signes, pour des lecteurs à partir de 8 ans, c’était une longueur équilibrée : ni trop long, ni trop court. Et les enfants plus grands, ceux que l’on dit « en difficulté avec la lecture » ne sont pas effrayés par l’épaisseur des livres. Du coup, ils ne se rendent pas compte qu’en ayant lu déjà 10 volumes, ils en sont à 500000 signes, la longueur d’un gros roman !!! Mais mes premiers lecteurs ont grandi depuis le début de la série. Ils auront peut-être envie de « plus ». Et ça me donne un espace plus large où faire évoluer mes personnages.
Vous êtes également traductrice de très nombreux titres pour Bayard : Mary Pope Osborne (cabanes magiques) ; l’Épouvanteur ; et Eragon… Est-ce que cela a une influence sur vos écrits sur votre imaginaire ? Comment ?
Comment fonctionne un traducteur ?
L’imaginaire des autres ne peut que vous enrichir. Ça se mêle à tout ce qu’on « engrange » par ailleurs, dans ses lectures, au cinéma, en voyage, dans toutes les rencontres et expériences de la vie. C’est là-dedans qu’on puise – plus ou moins consciemment, d’ailleurs – pour écrire. En réalité, on n’invente rien. On ne fait que transposer dans ses histoires les éléments, les émotions de la « vraie vie ».
Quant à mon idée du « traducteur », c’est quelqu’un qui interprète – au sens quasi musical du terme - en français un texte écrit dans une autre langue, de sorte que les lecteurs aient accès non seulement au sens, mais aussi, autant que possible, à la « vibration » particulière de l’original.
Vous partez en retraite fin décembre 2010. Vous allez nous manquer. Vous n’allez pas arrêter d’écrire au moins ?
Ben non… ! Je compte même avoir plus de temps pour écrire. Si Cabane magique, l’Épouvanteur et Eragon 4 (on attend le texte…) réunis ne me prennent pas toute mon énergie !!!
Propos recueillis par Jean-Luc Clerc
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L'épouvanteur tomes I à VI
Avant de retrouver le tome VII mi janvier découvrez une série
absolument fantastique chez Bayard : l'épouvanteur !
Depuis toujours, l'obscur s'infiltre sur la Terre, par l'entremise de créatures démoniaques plus ou moins puissantes, corrompant la vie des pauvres humains que nous sommes. Certains parmi nous deviennent des êtres de l'obscur ou s'y allient, d'autres, ignorants, sont enveloppés par de dangereuses illusions émanant de sa malignité, tandis que quelques-uns le combattent, protégeant le monde de sa noirceur. Dans les Comté, les manifestations courantes de l'obscur sont des sorcières, des gobelins, des âmes errantes : John Gregory, l'Épouvanteur, s'efforce de réduire leurs agissements.
Septième fils d'un septième fils et armé de solides connaissances, il est l'un des rares à pouvoir véritablement combattre l'obscur. Tom Ward, doté des mêmes pouvoires, devient l'apprenti de l'Épouvanteur, et, selon sa mère, est detiné à être le meilleur Épouvanteur que le Comté ait jamais connu. Tout au long de ces livres, vous découvrirez quelles affreuses créatures sévissent de par le monde, ainsi que les puissances surnaturelles soulevées par les terribles secrets que dissimulents certains pans occultes du passé et de l'avenir, au cours d'une montée en puissance où rebondissements, incertitudes et tromperies, combats et révélations s'entremêlent pour former d'haletantes histoires, très matures. Aucune niaiserie, aucun cliché, l'auteur mène ses intrigues de main de maître, installant une délicieuse atmosphère oppressante qui fait de sa saga un ensemble de livres formidable ! À découvrir absolument si vous appréciez la fantasy sans lourdeur et tout en profondeur.
N'hésitez pas à Lire la suite pour avoir plus d'informations sur un livre en particulier...
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Chroniques de l'université invisible
Imaginez.
La tête des gens est pour vous comme une chambre dans laquelle vous vous promenez naturellement, au milieu de pensées secrètes et d’ogres aux dents de cisaille. Vous vous appelez Mélusine. Vous écoutez dans les têtes.
La malchance vous poursuit depuis votre naissance. Tout bascule sans cesse dans la poisse. D’ailleurs, vous venez d’être enlevée par un vampire. Votre prénom est Framboise. Vous savez déplacer les objets.
Vous n’avez pas de famille, plus de mémoire et pour terrain de jeu une gare où vous dérobez les portefeuilles. On vous appelle Décembre mais en fait votre vrai prénom est Tristan. Vous êtes télépathe.
Arrêtez d’imaginer. L’Université invisible vient de vous kidnapper. Cette organisation secrète s’intéresse à vos dons uniques, magiques, terribles. Pour les perfectionner, elle vous embarque sur une île mystérieuse. Désormais, votre présent et votre avenir sont ici. Car, bientôt, dans le monde d’En Bas, plus personne ne se souviendra de vous.
un petit clic magique sur lire la suite...
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Dédale, l'homme-oiseau
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Krotokus Ier, Roi des animaux
Krotokus Ier, Roi des animaux ; Caryl Férey ; Illustrations : Christian Heinrich ;
Editions Pocket Jeunesse, novembre 2010, 14,9 €
Prenez un tyran nommé Krotokus Ier, un lion sanguinaire et stupide ! Ajoutez y un chimpanzé mâle que tout le monde prend pour une guenon, Shita, conseiller du roi ; une garde royale composée de brutes épaisses ; d’un peuple désespéré au bord de la révolte et d’une recherche effrénée à la princesse qui permettra à l’héritier du trône se fiancer.
Car sur les conseils avisés de Shita, Krotokus, menacé par une révolte et une loi qui dit qu’il devra se soumettre à des élections si son héritier n’a pas trouvé promise avant la fin de la treizième lune, a décidé de reprendre les choses en main.
La fiancée (un superbe papillon de la tribu des Danaïdes) perchée sur la corne de sa dame de compagnie la vache Pâquerette vogue vers l’île de Croland quand son navire est arraisonné et faite prisonnière par les hyènes. Le roi décide alors de partir à leur poursuite sur le navire royal : le Gnou II. Ce voyage ne sera pas de tout repos. Le capitaine, un rusé renard, Goupille va être chargé d’emmener la troupe aux trousses des hyènes et de la princesse.
Vous échouerez alors sur l’île de la Barbarie sur laquelle tout le monde travaille aux ordres d’une troupe d’éléphants hystériques obsédés par la fabrication de chaussettes ; pour sur l’île mystérieuse ou l’île aux vieux sur laquelle Krotokus fera un festin de dodos et de laquelle ils finiront par se faire expulser par Poulagar le tyrannosaure homme de main des vieux de l’île très peu contents de voir débarquer toute cette jeunesse turbulente et étrangère ; enfin sur l’île de Komodo où les varans qui veulent construire un zoo des célébrités et attirer ainsi les touristes.
Des histoires drôles avec des situations souvent cocasses et bien mises en scènes. Le pauvre Pupus, l’héritier du trône, en prend pour son grade et va se trouver face au fait accompli à la fin de l’histoire. Mais ceci est une autre histoire. Sachez cependant que vous allez bien vous amuser, les personnages sont croqués avec un humour vache réjouissant et mine de rien l’histoire dénonce en passant, les dictateurs, tyrans, racistes de tout poil. Vous y retrouverez également des allusions multiples à notre société et à sa télévision. Il y a bien quelques familiarités de langage dont l’auteur aurait pu se passer, mais qui ne valent pas de se priver de ce petit régal de lecture et d’histoire.
Krotokus Ier saura-t-il sauver son trône ? Pupus pourra-t-il régner ou le voudra-t-il ? Goupille le renard sauvera-t-il ses poules ? La belle Sheba a-t-elle été dévorée par les crocodiles… autant de questions et bien d’autres encore auxquelles il vous faudra répondre en dévorant ce roman. Nos jeunes amis vont se régaler.
Joseph
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Oksa Pollock Tome II
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Société Protectrice des Monstres : tomes II et III
Trésors et richesses disparues
Trésors et richesses disparues ; Glenn Murphy ; Traduit de l’anglais par Pascal Varejka ; Editions Fleurus, collection Infinity, novembre 2010, 14,95 €
Comme il est de coutume dans cette collection l’ouverture de la couverture provoque celle d’une surprise et là on se dit : fantastique tous ces trésors localisés sur une superbe reproduction d’un planisphère avec un petit texte de présentation qui met bien dans l’ambiance et des renvois aux pages pour les trésors découverts et illustrés dans l’ouvrage. De quoi vous transformer en véritable chasseur de merveilles disparues.
Une fois la carte pop-up fermée, à vous de jouer.
Après une première double page sur la définition de ce que peut-être un trésor et ses variations suivant les civilisations, les époques…vous pourrez selon les envies mettre vos pas dans la découverte d’un trésor enfoui ; les célèbres chasseurs de trésors ou les chasseurs de trésors dans la fiction (Indi est de retour) ; le tombeau du jeune roi Toutankhamon… des récits ; la découverte des trésors sous-marins… Toute une série de mise en avant de légende, de réalités historiques, de trouvailles, de découvertes…
De la couverture magnifique aux pages intérieures superbes, photographies, mise en page, découvertes avec rabats… Une très belle découverte et un superbe album à offrir sans hésiter pour les jeunes curieux avides de légendes et de trésors disparus.
Un superbe documentaire passionnant une fois de plus !
Joseph
Découvrez les autres titres de cette formidable collection :
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27 décembre 2010
Reckless
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Ulysse Moore. Tome VII La ville cachée
Ulysse Moore. Tome VII ; La ville cachée ; Pierdomenica Baccalario ; Traduit de l’italien : Anna Buresi ; Editions Bayard Jeunesse, novembre 2010, 11,9 €
Anita Bloom est la fille d’une restauratrice d’œuvres d’art italienne et d’un banquier anglais. Lorsque nous faisons sa connaissance, elle est avec sa mère à Venise dans une ancienne villa. La villa des Monstres qui a appartenu à l’illustrateur Morice Moreau dont sa mère est en train de restaurer les fresques endommagées par le temps et la négligence humaine.
C’est avec curiosité et intelligence que Pierdomenica Baccalario nous entraine à la découverte de cette merveilleuse villa et de son histoire ainsi que dans les rues de Venise dans les pas de sa jeune héroïne Anna et de son ami Tommy. Mais peu à peu grâce à la curiosité de Mioli le chaton indiscipliné d’Anna, la jeune fille curieuse va faire une découverte qui va bouleverser sa vie d’adolescente. Dans une trappe secrète qui s’ouvre dans le plafond, elle trouve une enveloppe mystérieuse destinée à un certain Ulysse Moore.
De là va partir un nouvel épisode de cette formidable saga. Découvrez le club des Voyageurs imaginaires ; Malarius Voynich et Eco ; le club des Incendiaires ; le carnet mystérieux et les livres-fenêtres avec cette femme mystérieuse notamment qui appelle à l’aide cachée dans les pages.
On ne retrouve, Jason, Rick, Julia et Nestor (enfin Ulysse) qu’à la moitié du livre. Les adolescents ont grandi (les illustrations et les texte nous le laissent à penser). Ces retrouvailles qui ouvrent une deuxième partie dans ce septième tome accélère le rythme et nous entraine dans un tourbillon d’évènements avec de nouveaux personnages qui mettent en place de futures histoires qui seront, nous n’en doutons pas, passionnantes.
Ce jeune auteur italien a du talent. C’est le moins que l’on puisse dire. En effet, nous en sommes au septième tome et les six premiers riches en évènements avaient connu un épilogue particulièrement riche en évènements.
On avait donc tout à craindre d’une série qui ne s’arrête pas. Et bien non, Pierdomenico Baccalario fait preuve ici d’une grande maîtrise et d’une capacité de renouvellement surprenante. A la fois familière et nouvelle, cette septième aventure relance la série et nous ravit de nouveau.
C’est reparti pour de nouvelles aventures. Alors ne boudez pas votre plaisir (si vous êtes déjà fans) et/ou votre curiosité (pour les novices) et foncez c’est une réussite totale.
Jean-Luc
la couverture vous renverra vers les chroniques des tomes précédents... belles découvertes.
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Le Secret de l'Ange : les vampires de Manhattan tome V
Le Secret de l'Ange ; Melissa de La Cruz ; Traduit de l’anglais (américain) : Valérie Le Plouhinec ; Editions Albin Michel, collection Wiz, novembre 2010, 13,5 €
Une nouvelle saison s’ouvre sur les Vampire de Manhattan, Théodora et Jack partis en Europe sont désormais sous le contrôle de la comtesse de Paris, ensembles, mais dans une prison dorée. Le roman s’ouvre sur leur volonté de s’évader et d’échapper aux deux Venator chargés de les garder. En Italie ils se sont donnés pour mission de retrouver la porte de la Promesse, troisième porte connue de l’enfer. Leur fuite particulièrement musclée et sportive va les amener à faire la connaissance d’un groupe étrange, l’ordre Pétruvien, dont l’un des membres va leur venir en aide.
La deuxième partie du roman nous ramène à New-York où Mimi la jumelle éconduite de Jack folle de rage et de rancœur est devenue régente de l’Assemblée. Malgré ses pouvoirs d’ange noir et sa position sociale enviée, il va être difficile pour cette jeune femme de dix-sept ans dans ce cycle de vie de s’imposer face à une communauté de Sang-bleu de plus en plus susceptible, inquiète, songeant même à se réfugier une fois de plus sous terre. L’enlèvement et le meurtre filmé et diffusé sur internet d’une jeune Sang-bleu va semer la panique et mettre les nerfs de Mimi à rude épreuve. Elle saura cependant trouver de l’aide chez les Venators et de façon plus inattendue avec Oliver l’ancien familier de Théodora.
Dans la dernière partie, en jouant sa dernière carte, elle fait appel à une Venator réputée de la communauté asiatique : Deming Chen. Celle ci va mener l’enquête qui doit aboutir avant que les vampires affolés ne renversent Mimi et ne prennent des décisions catastrophiques pour la communauté.
Le livre s’ouvre sur le journal personnel de Lawrence Van Allen et sur la création d’un ordre mystérieux chargé de s’opposer à leurs ennemis, les Sang-d’argent. La clef semble se trouver dans la réincarnation d’un ange Alcyon en Catherine de Sienne.
Le récit est d’ailleurs émaillé de rappels de l’histoire et de la lutte contre les Sang-d’argent au XVème siècle. L’existence des Néphilims et de traîtres font que la menace semble permanente. La communauté des Sang-bleu et notamment leur Assemblée newyorkaise, réputée pourtant comme l’une des plus puissantes, semble bien mal en point, vieillissante et en prise à des conflits d’intérêts plus humains que vampires. La menace guette toujours, insidieuse et peut surgir n’importe où, n’importe quand. L’intrigue est toujours menée tambour battant, les révélations et les découvertes se font au fil des pages pour notre plus grand bonheur.
Le retour de Melissa de la Cruz en cette fin d’année 2010, est une réussite, une fois de plus. On se souvient des premières pages des Vampires de Manhattan au début de la série, et du sentiment étrange ressenti. A l’époque je me souviens de m’être demandé dans quoi j’étais tombé. (le mot vampire n’apparaît pas avant la page 167 !!!). Pourtant très vite le charme avait agi et les tomes suivants n’ont jamais démenti cette sensation. Melissa de la Cruz est redoutable et sous des dehors clinquants et rutilants, sa série nous entraine peu à peu sur les sentiers d’une histoire particulière, riche en rebondissements et en découvertes. Un univers à part particulièrement attachant et réussi. A suivre pour les fans (mais la recommandation est-elle utile ? ) et découvrir sans hésiter pour les autres.
A lire et surtout pour les fans, bonne nouvelle, le prochain tome annoncé sera un volume inédit de la saga avant la révélation finale du tome VI à paraître en 2011. Annoncé comme un collector indispensable pour les fans de la série, gageons que l’auteur saura y distiller révélation et surprises avant le bouquet final. Pour patienter, le visuel de couverture. On se retrouve en février.
Jean-Luc
PS : le clic sur la couverture du Secret de l'Ange, devrait vous renvoyer vers les chroniques des autres tomes. Et en attendant le dernier tome programmé pour 2011. Voici la couverture du collector à paraître au mois de février.Juste pour les fans. Depuis sa chronique a été mise en ligne : clic pour découvrir Bloody Valentine.
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Les dragons de Nalsara tome X
Les dragons de Nalsara Tome 10 ; Aux mains des sorciers ; Marie-Hélène Delval ; Illustrations : Alban Marilleau ; Editions Bayard Jeunesse, octobre 2010, 4,9 €
Cham fait des progrès rapides en magie. Mais le temps presse et les Addraks veulent accélérer le mouvement. Son oncle Darkat va tout tenter pour le convaincre de passer de leur côté. Ou plus exactement de la manipuler.
Le garçon est trop jeune pour résister. Darkat l’emmène visiter le mausolé de son grand-père et lui permet de toucher son épée. Celle-ci bouleverse le garçon et la magie noire fait effet. Il ne se méfie plus de Darkat et mange les fruits empoisonnés qui font de lui peu à peu un sorcier.
Les sorciers n’ont plus besoin de Dhydra désormais pour appeler les dragons. Son fils possède le pouvoir de leur parler, il le fera à sa place.
Les magiciennes de leur côté ont perçu le danger et Dhydra elle même a eu le temps de faire prévenir les dragons par l’intermédiaire des élusims.
Cham saura-t-il vaincre la magie noire de son oncle ou va-t-il basculer du mauvais côté de la magie ? Un tome passionnant, au rythme endiablé qui nous entraine de nouveau dans un très bon moment de lecture. Avec toujours les illustrations particulièrement réussies d’Alban Marilleau.
La suite arrive bientôt on l’espère février pour le tome suivant et d’après nos sources, les prochains tomes devraient être plus long : youpi !
Un régal de lecture et d’aventures pour nos jeunes amis. Une belle porte d’entrée dans le monde de la fantasy. Marie-Hélène Delval en grande forme. On en redemande.
Retrouvez les autres titres de la série en cliquant sur ce visuel
Jean-Luc
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Le retour d'Ulysse
Le retour d'Ulysse ; Thomas Leclere ; Illustrations : Gwen Keraval ;
Editions Tourbillon, collection Légendaires, novembre 2010, 9,95 €
Tourbillon accueille une nouvelle collection de fiction : Légendaires.
(voir dans lire la suite la présentation de la nouvelle collection)
Dans lire la suite, découvrez des images, la chronique et une interview de Gwen Keraval l'illustrateur du roman qui a bien voulu répondre à quelques questions...
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Eragon, le guide d'Alagaësia
Eragon, le guide d'Alagaësia ; Christopher Paolini ; Traduit de l’anglais : Danièle Laruelle ; Illustrations : Fred Gambino, Larry McDougal, Ian Miller, David Wyatt ; Editions Bayard, octobre 2010, 24,9 €
Les fans qui attendent le quatrième tome du jeune dragonnier le savent bien, le temps est toujours trop long. Alors pour vous faire patienter, voici le guide d’Alagaesia de Christopher Paolini. Pour les fans et les néophytes tout un monde à découvrir. Cartes, paysages, espèces animales du « sympathique » « Shrrg » au chat-garou. Un peu d’histoire avec une chronologie de l’histoire de la contrée. Vous saurez tout sur dragons et dragonniers. Et enfin vous pourrez vous renseigner sur les idfférents peuples et leurs us et coutumes et leurs cités de légendes.
Bien illustré, avec des encarts faciles d’accès, des rabats, des messages comme dans tout livre de ce type de collection qui se respecte.
Un bon moment agréable et instructif en attendant la suite.
Côme
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